Afriques de Nuit
avec Toumast /Moussa Diouf / Elektro Bamako
Concert
Le 09 Novembre 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Salle Le Vigean – rue Serge Mallet, 33320 Eysines –
à 20h30
Français
Tout au long de cette saison, nous allons parcourir avec de nombreux artistes la question de l’exil.
Après Gianmaria Testa, Susheela Raman ou Katia Gerreiro, la soirée « Afriques de Nuit » au cours de laquelle nous invitons les mauritaniens exilés de Toumast, Moussa Diouf du Sénégal et l’urbanité musicale d’Electro Bamako, s’inscrit dans cette même problématique.
Toumast Moussa Ag Keyna a troqué son arme contre une guitare.
Avec Ishumar son premier album, il continue le combat en musique pour défendre l’identité touarègue menacée par des politiques répressives. Dans la lignée du groupe Tinariwen, ce nomade désormais exilé en France, relance la formation Toumast. Moussa enrichit le répertoire ishumar traditionnel de tonalités occidentales, associant ainsi la poésie d’un blues du désert aux tonalités rock et funk.
Toumast y chante les douleurs, les désillusions de l’identité touarègue. Une musique riche et émouvante pour un message hautement symbolique.
Moussa Diouf Moussa Diouf n’est pas un musicien comme les autres. Et pour cause, c’est un vrai orchestre à lui tout seul ! Basse, guitare, piano, percussions… Ce génie touche à tous les styles musicaux. Du jazz au funk, de l’afrobeat au mbalax, du reggae au hip-hop en passant par le raï, Moussa Diouf est un bassiste reconnu, jouant sur tous les fronts tout en restant ancré dans l’univers musical sénégalais.
Electro Bamako Ce qui frappe et séduit dans la musique hybride de Marc Minelli et Assitan Mamani Keita, qui entremêle habilement chanson traditionnelle malienne et jazz électro, c’est son caractère naturel, à mille lieues des fusions forcées du world business. Chacun intègre les différences de l’autre sans pour autant chercher à le coloniser. Ici, la froideur informatique laisse filtrer un fond d’humanité, là, les mélodies, parfaitement ciselées, semblent taillées sur mesure pour mieux valoriser la voix haut-perchée et le timbre clair de Mamani Keita. A l’arrivée, une poésie rétro-futuriste se dégage de cet opus et nos deux êtres – que rien ne prédestinait à se rencontrer – dialoguent jusqu’à ne faire plus qu’un. Jérôme Sandlarz / Mondomix à écouter : Toumast » Ishumar » Village Vert/Wagram, 2006 / Moussa Diouf « Am Yakar » / Marc Minelli « Electro Bamako » Emarcy/Universal, 2001 réservations : Fnac, Carrefour – 0 892 68 36 22 (0,34 euros / mn) – www.fnac.com Virgin Megastore, Auchan, E.Leclerc, Cora, Cultura – 0 892 390 100 (0,34 euros / mn) – www.tickenet.fr Box Office – Ville d’Eysines tarifs : location 18€ – réduit 16€ – le soir 20€ pour en savoir plus :
le site de Toumast : toumast.com
le site de Moussa Diouf : moussadiouf.com
le site de Electro Bamako : electro-bamako.com
Après Gianmaria Testa, Susheela Raman ou Katia Gerreiro, la soirée « Afriques de Nuit » au cours de laquelle nous invitons les mauritaniens exilés de Toumast, Moussa Diouf du Sénégal et l’urbanité musicale d’Electro Bamako, s’inscrit dans cette même problématique.
Toumast Moussa Ag Keyna a troqué son arme contre une guitare.
Avec Ishumar son premier album, il continue le combat en musique pour défendre l’identité touarègue menacée par des politiques répressives. Dans la lignée du groupe Tinariwen, ce nomade désormais exilé en France, relance la formation Toumast. Moussa enrichit le répertoire ishumar traditionnel de tonalités occidentales, associant ainsi la poésie d’un blues du désert aux tonalités rock et funk.
Toumast y chante les douleurs, les désillusions de l’identité touarègue. Une musique riche et émouvante pour un message hautement symbolique.
Moussa Diouf Moussa Diouf n’est pas un musicien comme les autres. Et pour cause, c’est un vrai orchestre à lui tout seul ! Basse, guitare, piano, percussions… Ce génie touche à tous les styles musicaux. Du jazz au funk, de l’afrobeat au mbalax, du reggae au hip-hop en passant par le raï, Moussa Diouf est un bassiste reconnu, jouant sur tous les fronts tout en restant ancré dans l’univers musical sénégalais.
Electro Bamako Ce qui frappe et séduit dans la musique hybride de Marc Minelli et Assitan Mamani Keita, qui entremêle habilement chanson traditionnelle malienne et jazz électro, c’est son caractère naturel, à mille lieues des fusions forcées du world business. Chacun intègre les différences de l’autre sans pour autant chercher à le coloniser. Ici, la froideur informatique laisse filtrer un fond d’humanité, là, les mélodies, parfaitement ciselées, semblent taillées sur mesure pour mieux valoriser la voix haut-perchée et le timbre clair de Mamani Keita. A l’arrivée, une poésie rétro-futuriste se dégage de cet opus et nos deux êtres – que rien ne prédestinait à se rencontrer – dialoguent jusqu’à ne faire plus qu’un. Jérôme Sandlarz / Mondomix à écouter : Toumast » Ishumar » Village Vert/Wagram, 2006 / Moussa Diouf « Am Yakar » / Marc Minelli « Electro Bamako » Emarcy/Universal, 2001 réservations : Fnac, Carrefour – 0 892 68 36 22 (0,34 euros / mn) – www.fnac.com Virgin Megastore, Auchan, E.Leclerc, Cora, Cultura – 0 892 390 100 (0,34 euros / mn) – www.tickenet.fr Box Office – Ville d’Eysines tarifs : location 18€ – réduit 16€ – le soir 20€ pour en savoir plus :
le site de Toumast : toumast.com
le site de Moussa Diouf : moussadiouf.com
le site de Electro Bamako : electro-bamako.com
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