12e Salon international du livre d’Alger 2007
thème : Libertés et imaginaire
Salon/foire
du 31 Octobre au 09 Novembre 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Littérature / édition
SAFEX, Palais des Expositions – Algérie
Français
Libertés et imaginaire a été choisi comme thème générique du 12ème SILA par un atelier de travail issu des membres du Comité d’organisation.
Il colle de près aux aspirations des élites arabes conviées tout au long de l’année 2007 à participer à l’évènement Alger, capitale de la culture arabe.
Il s’éloigne des lyrismes, attitudes béates et autoglorifications qui ont longtemps marqué les sociétés arabes.
Confronté aux agressions extérieures, dont on voit aujourd’hui les dégâts, à commencer par des colonisations brutales ou perverses, largement favorisées par une fragilisation puis un effondrement du front intérieur, le Monde arabe a des défis à relever ; parmi ceux-ci, les enjeux culturels, idéologiques et civilisationnels.
Libertés et imaginaire thème central, offre l’avantage d’être décliné en sous-thèmes aussi intéressants que féconds. Les opportunités sont alors nombreuses pour évoquer le riche patrimoine de l’Algérie, et les apports de celle-ci à l’universalité. Creuset des cultures, foyer d’idées novatrices et libératrices, jouant un rôle central, l’Algérie est d’abord héritière des idées de Novembre 54.
Libertés et imaginaire, est un thème d’actualité. Il puise, et trouve même une certaine légitimité, dans le fonds des anciens, ceux-là mêmes qui ont contribué à l’âge d’or de la civilisation arabo – musulmane.
C’est par cette osmose entre création continue, quête du nouveau et questionnement du monde, que le monde arabe fut, à un moment donné de son histoire passionnante et tumultueuse, une aire d’accumulation et d’échanges d’idées ; un espace où l’imaginaire fabrique des contes fabuleux comme les Mille et une nuits, cette merveille de la littérature mondiale.
Il va de soi qu’il ne saurait y avoir de création sans liberté. Toute la problématique du Monde arabe est là.
Libertés et imaginaire reflète d’ailleurs si bien les idées principales qui ressortent de l’intervention du Président de la République M. Abdelaziz Bouteflika à l’ouverture de la manifestation Alger capitale de la culture arabe 2007, devant des intellectuels, artistes et créateurs arabes. « La régression est notre plus grand ennemi », disait-il.
Programme jour par jour en ligne sur le site internet.
Il colle de près aux aspirations des élites arabes conviées tout au long de l’année 2007 à participer à l’évènement Alger, capitale de la culture arabe.
Il s’éloigne des lyrismes, attitudes béates et autoglorifications qui ont longtemps marqué les sociétés arabes.
Confronté aux agressions extérieures, dont on voit aujourd’hui les dégâts, à commencer par des colonisations brutales ou perverses, largement favorisées par une fragilisation puis un effondrement du front intérieur, le Monde arabe a des défis à relever ; parmi ceux-ci, les enjeux culturels, idéologiques et civilisationnels.
Libertés et imaginaire thème central, offre l’avantage d’être décliné en sous-thèmes aussi intéressants que féconds. Les opportunités sont alors nombreuses pour évoquer le riche patrimoine de l’Algérie, et les apports de celle-ci à l’universalité. Creuset des cultures, foyer d’idées novatrices et libératrices, jouant un rôle central, l’Algérie est d’abord héritière des idées de Novembre 54.
Libertés et imaginaire, est un thème d’actualité. Il puise, et trouve même une certaine légitimité, dans le fonds des anciens, ceux-là mêmes qui ont contribué à l’âge d’or de la civilisation arabo – musulmane.
C’est par cette osmose entre création continue, quête du nouveau et questionnement du monde, que le monde arabe fut, à un moment donné de son histoire passionnante et tumultueuse, une aire d’accumulation et d’échanges d’idées ; un espace où l’imaginaire fabrique des contes fabuleux comme les Mille et une nuits, cette merveille de la littérature mondiale.
Il va de soi qu’il ne saurait y avoir de création sans liberté. Toute la problématique du Monde arabe est là.
Libertés et imaginaire reflète d’ailleurs si bien les idées principales qui ressortent de l’intervention du Président de la République M. Abdelaziz Bouteflika à l’ouverture de la manifestation Alger capitale de la culture arabe 2007, devant des intellectuels, artistes et créateurs arabes. « La régression est notre plus grand ennemi », disait-il.
Programme jour par jour en ligne sur le site internet.
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