Julia saar et patrice larose
Musique traditionnelle du monde
Concert
Le 01 Février 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Théâtre Victor Hugo – 14, avenue Victor Hugo, 92220 Bagneux – France
à 20h30 – Tarifs : 17,5 € tarif plein ou 13,5 € tarif adhérent (réserver)
Français
Avec Patrice Larose, Julia Sarr, Alexandre Tran Van Tuat
Julia Sarr a chanté pendant près de douze aux côtés de Lokua Kanza et des plus grands noms des musiques françaises et du monde. Patrice Larose, jazzman et guitariste flamenco, a été le compagnon fidèle de Marcio Faraco sur ses deux derniers albums.
Ils ont décidé d’entreprendre ensemble une aventure musicale inédite, en rompant les amarres, en faisant le pari de se perdre dans l' »étrangeté » de l’autre pour, au terme du processus, mieux se retrouver – chacun différent de ce qu’il croyait être – assurément plus proche que jamais de son intimité.
Jamais, d’une certaine façon, Julia Sarr, aventurant la langue fluide et rugueuse de ses ancêtres, le woloff, aux confins du Cante Jondo de la tradition flamenca, n’a semblé si proche de ses racines sénégalaises, retrouvant comme par magie, dans ce détour, la puissance incantatoire des griots.
Jamais de son côté Patrice Larose, empruntant autant au jazz qu’aux diverses formes issues de la tradition flamenca de quoi confectionner tout un ensemble d’écrins subtils et raffinés à la voix d’or de Julia, n’a semblé plus maître de son langage syncrétique et naturellement métissé que dans cette confrontation indirecte à l’Afrique.
Le résultat est magnifique de poésie instantanée.
Julia Sarr a chanté pendant près de douze aux côtés de Lokua Kanza et des plus grands noms des musiques françaises et du monde. Patrice Larose, jazzman et guitariste flamenco, a été le compagnon fidèle de Marcio Faraco sur ses deux derniers albums.
Ils ont décidé d’entreprendre ensemble une aventure musicale inédite, en rompant les amarres, en faisant le pari de se perdre dans l' »étrangeté » de l’autre pour, au terme du processus, mieux se retrouver – chacun différent de ce qu’il croyait être – assurément plus proche que jamais de son intimité.
Jamais, d’une certaine façon, Julia Sarr, aventurant la langue fluide et rugueuse de ses ancêtres, le woloff, aux confins du Cante Jondo de la tradition flamenca, n’a semblé si proche de ses racines sénégalaises, retrouvant comme par magie, dans ce détour, la puissance incantatoire des griots.
Jamais de son côté Patrice Larose, empruntant autant au jazz qu’aux diverses formes issues de la tradition flamenca de quoi confectionner tout un ensemble d’écrins subtils et raffinés à la voix d’or de Julia, n’a semblé plus maître de son langage syncrétique et naturellement métissé que dans cette confrontation indirecte à l’Afrique.
Le résultat est magnifique de poésie instantanée.
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