Alima (Chanson Franco-Algérienne)
Ce concert se déroule dans le cadre des Apéros du Monde du Divan, organisés une fois par mois autour d’un pays et d’une culture.
Concert
Le 13 Mars 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Mounède (La) – 1 rue Claude Marie Perroud, 31000 Toulouse – France
Français
Avec :
Alima Hamel : voix, textes, co-compositions, arrangements
Loic Schild : marimba, compositions, arrangements
Eugénie Ursch : violoncelle, chœurs, arrangements
La chanteuse du groupe toulousain Monkomarok invente son « fado franco-algérien » !
Ses textes sensibles et intimes, décrivent un univers imprégné du corps et de l’âme des femmes algériennes. De vifs tableaux émouvants amenés par une voix chaleureuse et poignante dont le blues comble l’espace, subtilement accompagnée par une musique évoquant les univers envoutant d’un Steeve Reich ou d’une Madredeus.
« Mes mots ont deux langues: le français, l’algérien. Le français puisque c’est la langue de mon quotidien, il me permet avec aise de mettre des mots sur des pensées légères ou graves, de donner un sens spontanné ou réfléchi à mes actions, à mes doutes… L’algérien, est la langue qui vient du fond des ames, qui dit l’indicible, qui ose l’impudence, le douloureux, le merveilleux… Je ne saurais me passer de l’une ou de l’autre. » (Alima)
Alima Hamel : voix, textes, co-compositions, arrangements
Loic Schild : marimba, compositions, arrangements
Eugénie Ursch : violoncelle, chœurs, arrangements
La chanteuse du groupe toulousain Monkomarok invente son « fado franco-algérien » !
Ses textes sensibles et intimes, décrivent un univers imprégné du corps et de l’âme des femmes algériennes. De vifs tableaux émouvants amenés par une voix chaleureuse et poignante dont le blues comble l’espace, subtilement accompagnée par une musique évoquant les univers envoutant d’un Steeve Reich ou d’une Madredeus.
« Mes mots ont deux langues: le français, l’algérien. Le français puisque c’est la langue de mon quotidien, il me permet avec aise de mettre des mots sur des pensées légères ou graves, de donner un sens spontanné ou réfléchi à mes actions, à mes doutes… L’algérien, est la langue qui vient du fond des ames, qui dit l’indicible, qui ose l’impudence, le douloureux, le merveilleux… Je ne saurais me passer de l’une ou de l’autre. » (Alima)
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