Yéléna, parcours nomade, de la tradition à la modernité
Ce concert a lieu dans le cadre de la résidence de création de « L’Arbre Mémoire » de Boubacar Ndiaye et Fady Zakar
Concert
Le 25 Janvier 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Pari – 21, rue Georges Clémenceau, 65000 Tarbes – France
A 20h – 12€ (plein)/8€ (réduit)
Français
Fondé en 2001 par le djembéfola Karamoko Koné, le groupe Yéléna puise son inspiration dans les traditions mandingues et s’épanouit dans les esthétiques de l’Occident.
Depuis 6 ans, le parcours de ce groupe suit celle de son fondateur. Ivoirien d’origine et malien de coeur, Karamoko Koné très tôt appelé par la passion de la musique prend la route du nord pour
rejoindre la richesse musicale du Mali. Il se lie à Soungalo Coulibaly qu’il suit dans ses tournées européennes et fini finalement par rester à Toulouse pour fonder Yéléna. Mais ce n’est pas la tradition ou le folklore qu’il donne à voir lors des concerts du groupe, mais bien le résultat d’un métissage qui a enrichi son parcours tant géographique qu’intellectuel. Karamoko Koné, en appelant de ses voeux une Afrique prospère, indépendante et hospitalière, sans renier ses racines, projette tout un peuple vers un avenir positif et engagé.
En concert, Yéléna fait dialoguer les voix avec la kora ; le saxophone et le violon donnent parfois des accents de jazz. Les mélodies traversent, transcendent l’assise des percussions. Le groupe est
aujourd’hui à un point d’équilibre, où, entre modernité et tradition, seuls la musique et les corps peuvent parler.
Depuis 6 ans, le parcours de ce groupe suit celle de son fondateur. Ivoirien d’origine et malien de coeur, Karamoko Koné très tôt appelé par la passion de la musique prend la route du nord pour
rejoindre la richesse musicale du Mali. Il se lie à Soungalo Coulibaly qu’il suit dans ses tournées européennes et fini finalement par rester à Toulouse pour fonder Yéléna. Mais ce n’est pas la tradition ou le folklore qu’il donne à voir lors des concerts du groupe, mais bien le résultat d’un métissage qui a enrichi son parcours tant géographique qu’intellectuel. Karamoko Koné, en appelant de ses voeux une Afrique prospère, indépendante et hospitalière, sans renier ses racines, projette tout un peuple vers un avenir positif et engagé.
En concert, Yéléna fait dialoguer les voix avec la kora ; le saxophone et le violon donnent parfois des accents de jazz. Les mélodies traversent, transcendent l’assise des percussions. Le groupe est
aujourd’hui à un point d’équilibre, où, entre modernité et tradition, seuls la musique et les corps peuvent parler.
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