Philippe Bernard « Ombres blanches » et Jean-Jacques Moles, « Soyons simples »
Dans le cadre d’Itinéraires des photographes voyageurs
Exposition
du 01 au 30 Avril 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Photo
Porte 2a – 16 rue Ferrere, 33000 Bordeaux – France
Entrée libre du mardi au samedi – De 14h à 18h
Français
Vernissage le samedi 5 avril à 14H45 à Porte2a
Après de nombreux voyages, de Cuba à la Roumanie en passant par les Etats-Unis, le Yémen ou l’Indonésie, Jean-Jacques Moles pose ses semelles de vent au Bénin, et plus exactement dans la région d’Abomey, berceau du vaudouisme et des familles royales dahoméennes. Depuis 1994, ses nombreux séjours sur place donnent lieu à d’émouvantes rencontres photographiques. Singulier et humble, son regard en noir et blanc évoque aussi bien l’œuvre du grand Pierre Verger que la grâce de Guy Le Querrec.
« La confiance installée au fil des visites, grâce à l’aide humanitaire et l’envoi régulier de clichés, ainsi que la curiosité réciproque toujours aiguisée par les différences constituent le terreau de ces « rencontres photographiques » appréhendées avec sérieux, sinon gravité et fortes en émotion …
Enseignant, Philippe Bernard a travaillé pendant dix ans hors d’Europe, avant de rentrer en France en 2006. D’Oman à la Mauritanie en passant par Taïwan, il poursuit un travail photographique autour de l’aliénation engendrée par la modernité et le progrès. Réalisée en Afrique, sa série Ombres Blanches interroge sur cette aseptisation et cette uniformisation de notre société au travers de portraits pris à contre-jour, face au soleil. La couleur de peau s’efface, la vision s’obstrue et le visage exprime l’inexprimable.
Après de nombreux voyages, de Cuba à la Roumanie en passant par les Etats-Unis, le Yémen ou l’Indonésie, Jean-Jacques Moles pose ses semelles de vent au Bénin, et plus exactement dans la région d’Abomey, berceau du vaudouisme et des familles royales dahoméennes. Depuis 1994, ses nombreux séjours sur place donnent lieu à d’émouvantes rencontres photographiques. Singulier et humble, son regard en noir et blanc évoque aussi bien l’œuvre du grand Pierre Verger que la grâce de Guy Le Querrec.
« La confiance installée au fil des visites, grâce à l’aide humanitaire et l’envoi régulier de clichés, ainsi que la curiosité réciproque toujours aiguisée par les différences constituent le terreau de ces « rencontres photographiques » appréhendées avec sérieux, sinon gravité et fortes en émotion …
Enseignant, Philippe Bernard a travaillé pendant dix ans hors d’Europe, avant de rentrer en France en 2006. D’Oman à la Mauritanie en passant par Taïwan, il poursuit un travail photographique autour de l’aliénation engendrée par la modernité et le progrès. Réalisée en Afrique, sa série Ombres Blanches interroge sur cette aseptisation et cette uniformisation de notre société au travers de portraits pris à contre-jour, face au soleil. La couleur de peau s’efface, la vision s’obstrue et le visage exprime l’inexprimable.
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