Mamadou Bobo Bâ
Mamadou Bobo Bâ, peintre Peul de Kidira, à l’est du Sénégal, s’installe à octobre pour une sixième exposition personnelle.
Exposition
du 18 au 28 Mai 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques
Galerie octObre – 24, rue René Boulanger, 75010 Paris – France
Du Mardi au Vendredi de 16 h à 20 h. Vernissage Mardi 18 Mai de 18 h à 21 h.
Français
Depuis « Cheminement vers l’équilibre », sa première exposition Parisienne en 2003, et son « Mamadou Foyer » en 2004, nous avons passé du temps avec lui sur « La Route du Peul » en 2005 et aussi tout « Un été avec Bobo » en 2006 ; dansé une très belle farandole avec « A-FRI-CA », en 2007. Par ses expositions, Bobo révèle les valeurs que lui confère son identité de transhumant. Il a installé sa Case Peule à l’espace d’art contemporain « La Halle » à Pont-en-Royans (Isère) en 2006 et pour le Festival de land-art IN-SITU en Camargue en 2009. Il projette d’en faire une nouvelle installation prochainement à Paris.
Bobo chez les bobos : Mamadou Bobo Bâ se résidentialise dans le 11ème arrondissement de Paris, du côté du Chemin Vert et de la Roquette et rêve d’installer sa Case Peule sur les bords du Richard Lenoir ou sur les contreforts de la Bastille. Il arpente, de République à Ménilmontant, des jardins aux Mairies, des galeries d’art aux foyers des travailleurs immigrés. Il imagine, compare, partage, happe, rencontre… Et surtout il peint. Nous présentons aujourd’hui ses nouveaux « transferts » qui sont comme des repérages sur le chemin d’être soi et d’être ouvert aux autres. Bobo Bâ, le peintre transhumant, s’installe again à octObre et nous régale de ses ocres et de ses bleus, de son savoir-être et de son faire.
Bobo chez les bobos : Mamadou Bobo Bâ se résidentialise dans le 11ème arrondissement de Paris, du côté du Chemin Vert et de la Roquette et rêve d’installer sa Case Peule sur les bords du Richard Lenoir ou sur les contreforts de la Bastille. Il arpente, de République à Ménilmontant, des jardins aux Mairies, des galeries d’art aux foyers des travailleurs immigrés. Il imagine, compare, partage, happe, rencontre… Et surtout il peint. Nous présentons aujourd’hui ses nouveaux « transferts » qui sont comme des repérages sur le chemin d’être soi et d’être ouvert aux autres. Bobo Bâ, le peintre transhumant, s’installe again à octObre et nous régale de ses ocres et de ses bleus, de son savoir-être et de son faire.
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