Le Bal créole
Le bal Créole, scène à géométrie variable musicale et pluridisciplinaire, s’empare chaque 2ème dimanche du mois de la Bellevilloise (et d’autres espaces lors des Hors les Murs) pour affirmer… qu’avant le Zouk sévissait le bal
Concert
Le 12 Décembre 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique, Danse, Interculturel/Migrations
Bellevilloise (La) – 19 rue Boyer, 75020 Paris – France
PAF à 5 euros à partir de 18h
Français
Un bal créole spécial Haïti et coup de projecteur sur Jacmel !
// Programme //
Dès 18H00 > Projections de films :
« Jacmel » de Rachèle Magloire et Carl Lafontant – 1998 – 28 min.
Jacmel. Ville de troubadours et de poètes, ville des artisans, peintres, romanciers et intellectuels, ville qui joua aussi un rôle important dans l’histoire haïtienne et panaméricaine. D’abord connue sous le nom de Yaquimel, la région a été habitée par les Indiens, puis par les Espagnols. En 1698, durant la colonisation française qui succéda à celle de l’Espagne, cette région fut rebaptisée Jacmel. Que reste t-il de ce passé à part ces histoires légendaires que racontent encore aujourd’hui les vieillards ?
En partenariat avec le Collectif 2004 Images
20h > Jean Jean Roosevelt, jeune musicien venu de Jérémie en Haïti, de passage en France, fera l’ouverture du concert de James Germain!
En présence de la réalisatrice Rachèle Magloire
La musique de Jean Jean Roosevelt est à l’image d’Haïti : elle se nourrit d’influences multiethniques. Le brassage des cultures qui existe sur l’île a favorisé l’émergence d’une identité riche et plurielle. C’est l’une des forces du pays dont Jean Jean Roosevelt s’inspire pour jouer du tchyaka (terme haïtien signifiant « mélange »). Sa musique représente donc l’alliance de rythmes fondamentalement créoles (nago, mayi, ibo, yanvalou, kongo, djouba, etc) et d’influences jazz, reggae, RnB et afro-beat.
Plus d’infos sur Jean Jean Roosevelt
20h30 > fraîchement débarqué du Mali, James Germain présentera son nouvel album Kreol Mandingue
James Germain chante PEYA, extrait album Kreol Mandingue
envoyé par HAITIENDOC. – Découvrez plus de vidéos créatives.
Depuis deux ans et demi, l’Haïtien James Germain a posé ses valises au Mali. C’est à Bamako qu’il a composé et enregistré, Kreol Mandingue, son troisième album, qui revisite des chants traditionnels haïtiens à la couleur malienne.
Plus d’infos sur James Germain
Et tout au long de la soirée, l’association ARSAID proposera une exposition et la vente des oeuvres d’artistes jacmeliens, dont 3 nous feront le bonheur d’être là…
Pour ceux qui souhaitent contribuer directement à la création, des « kit peinture » pourront être achetés sur place, et seront acheminés aux artistes de Jacmel par les membres de l’association.
En présence des artistes jacmeliens:
Luckner Candio (alias Prince Luc)
Vady Confident
Garibaldi Jean
Le peintre Destin Domond tient son autoportrait dans la cour effondrée de la galerie Fosaj.
Retrouvez en vente l’incontournable « Fond des Nègres-Fonds des blancs », CD de musiques paysannes haïtiennes, le DVD de « Jacmel » et en primeur de l’ouvrage « La richesse culturelle d’Haïti, mythe ou réalité? » de Barbara Prézeau Stephenson
A dimanche!
La Bellevilloise
19 rue Boyer – 75020
http://www.labellevilloise.com/
L’ESPRIT DU BAL CRÉOLE…UN RENDEZ-VOUS RÉSOLUMENT OUVERT AUX CRÉATEURS HAÏTIENS
Porté par Géomuse, Le Bal Créole, outil à géométrie variable musical et pluridisciplinaire s’empare tous les 2eme dimanche du mois de la Bellevilloise -première coopérative parisienne fondée en 1977 – et d’autres espaces lors des HORS LES MURS, pour affirmer … qu’avant le Zouk sévissait le bal !
Grâce à un cercle associé de musiciens caribéens vivant en métropole et renouant avec la tradition festive qui remonte aux années 30 (entraînée par des figures aussi diversifiées que Stellio, ou Tabou Combo), le bal créole est devenu un laboratoire musical et un carrefour d’initiatives.
Avec ses orchestres de personnages pittoresques, ses danseurs, ses conteurs, ses projections de photo, de films et le savoir-faire culinaire antillais, Le Bal Créole, transgression de l’appellation doudouiste qu’il évoque, est aussi une plongée dans les terres marronnes, un cabotage à travers les métissages improbables de ces poussières d’île que l’on croit connaître, mais qui ne se dévoilent pas si facilement.
Le Bal créole est né sous le signe du « lyannaj ». On pourrait dire « lianer » ou « créer des liens », puisqu’il n’y a pas plus beau mot que le français le plus voyageur n’est fait naître.
A ces occasions, outre les concerts, sont proposés au public:
Des présentations d’ouvrages littéraires
Des performances poétiques aux accents de dub poetry, de slam et autres « chanté-parlé » d’aujourd’hui qui rappellent d’anciens véhicules de traditions orales.
De la photographie sous forme de diaporamas, dont les images sans commentaire sont projetées avant le passage des artistes sur scène.
Des projections vidéo.
// Programme //
Dès 18H00 > Projections de films :
« Jacmel » de Rachèle Magloire et Carl Lafontant – 1998 – 28 min.
Jacmel. Ville de troubadours et de poètes, ville des artisans, peintres, romanciers et intellectuels, ville qui joua aussi un rôle important dans l’histoire haïtienne et panaméricaine. D’abord connue sous le nom de Yaquimel, la région a été habitée par les Indiens, puis par les Espagnols. En 1698, durant la colonisation française qui succéda à celle de l’Espagne, cette région fut rebaptisée Jacmel. Que reste t-il de ce passé à part ces histoires légendaires que racontent encore aujourd’hui les vieillards ?
En partenariat avec le Collectif 2004 Images
20h > Jean Jean Roosevelt, jeune musicien venu de Jérémie en Haïti, de passage en France, fera l’ouverture du concert de James Germain!
En présence de la réalisatrice Rachèle Magloire
La musique de Jean Jean Roosevelt est à l’image d’Haïti : elle se nourrit d’influences multiethniques. Le brassage des cultures qui existe sur l’île a favorisé l’émergence d’une identité riche et plurielle. C’est l’une des forces du pays dont Jean Jean Roosevelt s’inspire pour jouer du tchyaka (terme haïtien signifiant « mélange »). Sa musique représente donc l’alliance de rythmes fondamentalement créoles (nago, mayi, ibo, yanvalou, kongo, djouba, etc) et d’influences jazz, reggae, RnB et afro-beat.
Plus d’infos sur Jean Jean Roosevelt
20h30 > fraîchement débarqué du Mali, James Germain présentera son nouvel album Kreol Mandingue
James Germain chante PEYA, extrait album Kreol Mandingue
envoyé par HAITIENDOC. – Découvrez plus de vidéos créatives.
Depuis deux ans et demi, l’Haïtien James Germain a posé ses valises au Mali. C’est à Bamako qu’il a composé et enregistré, Kreol Mandingue, son troisième album, qui revisite des chants traditionnels haïtiens à la couleur malienne.
Plus d’infos sur James Germain
Et tout au long de la soirée, l’association ARSAID proposera une exposition et la vente des oeuvres d’artistes jacmeliens, dont 3 nous feront le bonheur d’être là…
Pour ceux qui souhaitent contribuer directement à la création, des « kit peinture » pourront être achetés sur place, et seront acheminés aux artistes de Jacmel par les membres de l’association.
En présence des artistes jacmeliens:
Luckner Candio (alias Prince Luc)
Vady Confident
Garibaldi Jean
Le peintre Destin Domond tient son autoportrait dans la cour effondrée de la galerie Fosaj.
Retrouvez en vente l’incontournable « Fond des Nègres-Fonds des blancs », CD de musiques paysannes haïtiennes, le DVD de « Jacmel » et en primeur de l’ouvrage « La richesse culturelle d’Haïti, mythe ou réalité? » de Barbara Prézeau Stephenson
A dimanche!
La Bellevilloise
19 rue Boyer – 75020
http://www.labellevilloise.com/
L’ESPRIT DU BAL CRÉOLE…UN RENDEZ-VOUS RÉSOLUMENT OUVERT AUX CRÉATEURS HAÏTIENS
Porté par Géomuse, Le Bal Créole, outil à géométrie variable musical et pluridisciplinaire s’empare tous les 2eme dimanche du mois de la Bellevilloise -première coopérative parisienne fondée en 1977 – et d’autres espaces lors des HORS LES MURS, pour affirmer … qu’avant le Zouk sévissait le bal !
Grâce à un cercle associé de musiciens caribéens vivant en métropole et renouant avec la tradition festive qui remonte aux années 30 (entraînée par des figures aussi diversifiées que Stellio, ou Tabou Combo), le bal créole est devenu un laboratoire musical et un carrefour d’initiatives.
Avec ses orchestres de personnages pittoresques, ses danseurs, ses conteurs, ses projections de photo, de films et le savoir-faire culinaire antillais, Le Bal Créole, transgression de l’appellation doudouiste qu’il évoque, est aussi une plongée dans les terres marronnes, un cabotage à travers les métissages improbables de ces poussières d’île que l’on croit connaître, mais qui ne se dévoilent pas si facilement.
Le Bal créole est né sous le signe du « lyannaj ». On pourrait dire « lianer » ou « créer des liens », puisqu’il n’y a pas plus beau mot que le français le plus voyageur n’est fait naître.
A ces occasions, outre les concerts, sont proposés au public:
Des présentations d’ouvrages littéraires
Des performances poétiques aux accents de dub poetry, de slam et autres « chanté-parlé » d’aujourd’hui qui rappellent d’anciens véhicules de traditions orales.
De la photographie sous forme de diaporamas, dont les images sans commentaire sont projetées avant le passage des artistes sur scène.
Des projections vidéo.
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