CCF de N’Djamena
Programme de la semaine
Programme
du 26 au 30 Octobre 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Cinéma/TV
Centre Culturel Français de N’Djamena (CCF) – Institut Français du Tchad BP 1284, N’Djamena – Tchad
Français
Mardi 26 octobre à 19h – Cinéma
Salle de spectacles
Entrée libre
MICROCOSMOS, LE PEUPLE DE L’HERBE
Un film de Claude Nuridsany et Marie Pérennou (1996),
Durée : 1h15
Voyage sur terre à l’échelle du centimètre. Ses habitants : insectes et autres animaux de l’herbe et de l’eau.
Mercredi 27 octobre à 16h – Conte
Arbre à palabres
Entrée libre
L’HEURE DU CONTE
Avec Béatrice Tamba.
Mardi 27 octobre à 17h – Cinéma
Salle de spectacles
Entrée libre
MIA ET LE MIGOU
Un film d’animation de Jacques-Rémy Girerd (2008),
Durée : 1h31
Alertée par un pressentiment, Mia, fillette d’à peine 10 ans, décide de quitter son village natal quelque part en Amérique du Sud pour partir à la recherche de son père. Ce dernier travaille sur un chantier gigantesque visant à transformer une forêt tropicale en luxueuse résidence hôtelière. La route est longue pour retrouver son papa. Mia doit franchir une lointaine montagne, entourée d’une forêt énigmatique et peuplée d’êtres mystérieux…
Vendredi 29 octobre à 19h30 – Théâtre
Salle de spectacles
Tarif unique : 1 000 CFA
DARFOUR
Une création de la compagnie Ndam Se Na
Chorégraphie : Taigue Ahmed
Avec Taïgue Ahmed, Olivier Inethié (Moustik), Kaïnde Abdoulaye Roland, Salim Moussa Ndodjoum, Ndoumbaye Alladoum Thierry.
La création Darfour sera précédée d’un extrait de la pièce « Bois, mon cher ami, bois » de Noël Nétonon N’Djékéry, interprété par la compagnie de théâtre « Les 100 alcools ».
DARFOUR évoque l’union et la résolution pacifique des conflits. Le bruit des canons, les spahis ou les djandjawids perchés sur leurs chevaux, toutes sortes d’armes en main, parcourent l’ouest du Soudan, avec de fréquentes incursions à l’intérieur du Tchad.
Les cris des plus faibles, de ces innocents qui n’ont choisi ni leur appartenance ethnique, ni leur implantation géographique, a atteint ses limites. Baluchons sur la tête, enfants au dos ou perchés sur des animaux, hommes et femmes entament leur marche. Une très longue marche, comme une quête de la liberté…
Peu importe le nom qu’on pourra leur attribuer : réfugiés, déplacés, nécessiteux… L’essentiel est pour eux de trouver de l’eau à boire, du pain pour la survie et une tente à la belle étoile. Ils ont fui le DARFOUR…
DARFOUR, pièce créée entre N’Djamena et Goré (Sud du Tchad), est le résultat d’allers-retours entre camps de réfugiés et plateau de théâtre. Un spectacle empreint d’émotion.
La création DARFOUR est co-produite par le HCR et par le CCF de N’Djamena / Tchad.
Et aussi, Du mardi au samedi,
Jusqu’au samedi 30 octobre
Exposition
De 9h à 17h30
Salles d’exposition
Entrée libre
RETOUR DU TCHAD
En 1925, André GIDE, l’auteur des Caves du Vatican et des Faux-monnayeurs part au Congo et au Tchad pour un voyage – le plus long qu’il ait jamais effectué – aux frontières de l’écriture et du reportage.
À son retour, deux récits publiés chez Gallimard (Voyage au Congo et Le retour du Tchad) dans lesquels il dénonce certains aspects du colonialisme, l’arrogance du « blanc à l’égard du noir », le pillage des ressources, la corruption des cadres locaux. Un pamphlet qui lui vaudra les foudres de la droite de l’époque et une campagne de dénigrement de la part des entreprises visées, mais qui constitue désormais un précieux témoignage sur le Tchad d’antan.
En janvier dernier, le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de la Formation Professionnelle au Tchad – en partenariat avec le SCAC de l’Ambassade de France au Tchad et le CCF de N’Djamena -proposait à des artistes français et tchadiens de retracer le voyage d’un grand nom de la littérature français à bord d’un radeau conçu spécialement pour l’occasion.
L’aquarelliste français Joël Alessandra et le photographe tchadien Abdoulaye Barry nous proposent aujourd’hui une exposition conjointe rendant compte de leur périple sur les eaux du Logone et du Chari. A travers leurs images, venez redécouvrir le Tchad et partager la vie des populations riveraines des deux fleuves autrefois sillonnés par l’écrivain André Gide.
Salle de spectacles
Entrée libre
MICROCOSMOS, LE PEUPLE DE L’HERBE
Un film de Claude Nuridsany et Marie Pérennou (1996),
Durée : 1h15
Voyage sur terre à l’échelle du centimètre. Ses habitants : insectes et autres animaux de l’herbe et de l’eau.
Mercredi 27 octobre à 16h – Conte
Arbre à palabres
Entrée libre
L’HEURE DU CONTE
Avec Béatrice Tamba.
Mardi 27 octobre à 17h – Cinéma
Salle de spectacles
Entrée libre
MIA ET LE MIGOU
Un film d’animation de Jacques-Rémy Girerd (2008),
Durée : 1h31
Alertée par un pressentiment, Mia, fillette d’à peine 10 ans, décide de quitter son village natal quelque part en Amérique du Sud pour partir à la recherche de son père. Ce dernier travaille sur un chantier gigantesque visant à transformer une forêt tropicale en luxueuse résidence hôtelière. La route est longue pour retrouver son papa. Mia doit franchir une lointaine montagne, entourée d’une forêt énigmatique et peuplée d’êtres mystérieux…
Vendredi 29 octobre à 19h30 – Théâtre
Salle de spectacles
Tarif unique : 1 000 CFA
DARFOUR
Une création de la compagnie Ndam Se Na
Chorégraphie : Taigue Ahmed
Avec Taïgue Ahmed, Olivier Inethié (Moustik), Kaïnde Abdoulaye Roland, Salim Moussa Ndodjoum, Ndoumbaye Alladoum Thierry.
La création Darfour sera précédée d’un extrait de la pièce « Bois, mon cher ami, bois » de Noël Nétonon N’Djékéry, interprété par la compagnie de théâtre « Les 100 alcools ».
DARFOUR évoque l’union et la résolution pacifique des conflits. Le bruit des canons, les spahis ou les djandjawids perchés sur leurs chevaux, toutes sortes d’armes en main, parcourent l’ouest du Soudan, avec de fréquentes incursions à l’intérieur du Tchad.
Les cris des plus faibles, de ces innocents qui n’ont choisi ni leur appartenance ethnique, ni leur implantation géographique, a atteint ses limites. Baluchons sur la tête, enfants au dos ou perchés sur des animaux, hommes et femmes entament leur marche. Une très longue marche, comme une quête de la liberté…
Peu importe le nom qu’on pourra leur attribuer : réfugiés, déplacés, nécessiteux… L’essentiel est pour eux de trouver de l’eau à boire, du pain pour la survie et une tente à la belle étoile. Ils ont fui le DARFOUR…
DARFOUR, pièce créée entre N’Djamena et Goré (Sud du Tchad), est le résultat d’allers-retours entre camps de réfugiés et plateau de théâtre. Un spectacle empreint d’émotion.
La création DARFOUR est co-produite par le HCR et par le CCF de N’Djamena / Tchad.
Et aussi, Du mardi au samedi,
Jusqu’au samedi 30 octobre
Exposition
De 9h à 17h30
Salles d’exposition
Entrée libre
RETOUR DU TCHAD
En 1925, André GIDE, l’auteur des Caves du Vatican et des Faux-monnayeurs part au Congo et au Tchad pour un voyage – le plus long qu’il ait jamais effectué – aux frontières de l’écriture et du reportage.
À son retour, deux récits publiés chez Gallimard (Voyage au Congo et Le retour du Tchad) dans lesquels il dénonce certains aspects du colonialisme, l’arrogance du « blanc à l’égard du noir », le pillage des ressources, la corruption des cadres locaux. Un pamphlet qui lui vaudra les foudres de la droite de l’époque et une campagne de dénigrement de la part des entreprises visées, mais qui constitue désormais un précieux témoignage sur le Tchad d’antan.
En janvier dernier, le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de la Formation Professionnelle au Tchad – en partenariat avec le SCAC de l’Ambassade de France au Tchad et le CCF de N’Djamena -proposait à des artistes français et tchadiens de retracer le voyage d’un grand nom de la littérature français à bord d’un radeau conçu spécialement pour l’occasion.
L’aquarelliste français Joël Alessandra et le photographe tchadien Abdoulaye Barry nous proposent aujourd’hui une exposition conjointe rendant compte de leur périple sur les eaux du Logone et du Chari. A travers leurs images, venez redécouvrir le Tchad et partager la vie des populations riveraines des deux fleuves autrefois sillonnés par l’écrivain André Gide.
Partager :
