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Sur les traces d’Oum Kalsoum
Voix du monde arabe, musiciens de la sphère jazz ou contemporaine, des artistes de tous horizons s’unissent pour une création multiforme en hommage à l’incomparable voix égyptienne.

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SUR LES TRACES D’OUM KALSOUM / Palestine, Maroc, Tunisie, Egypte, France ●création

Kamilya Jubran voix, oud, conception, Wael Sami El Kholy voix, oud, Aicha Redhouane voix, Ghalia Benali voix, Moufadhel Adhoum oud, Azzedine Jazouli percussions, Habib Yammime riqq, daff, Salâh El-Din Mohamed qânûn, Safwan Kenani violon, Issa Murad oud + Arnaud Petit chef d’orchestre, composition, Daniel Yvinec contrebasse, Vincent Artaud basse électrique, claviers, Magic Malik flûte

Voix du monde arabe, musiciens de la sphère jazz ou contemporaine, des artistes de tous horizons s’unissent pour une création multiforme en hommage à l’incomparable voix égyptienne.

Celle que l’on surnommait l’Immortelle, la Quatrième pyramide d’Egypte, « Thouma » la voix d’or, restera une des personnalités marquantes du vingtième siècle, la porte-parole du monde arabe au moment de son ouverture au monde moderne, et aussi une artiste inégalable par sa force créatrice. D’où ce concert ambitieux qui, moins qu’un hommage, réunit un plateau exceptionnel d’artistes de tous horizons, pour se pencher sur les traces d’Oum Kalsoum. La Palestinienne Kamilya Jubran, chanteuse et oudiste experte en expériences, a énormément appris en l’écoutant, tout comme la Marocaine Aïcha Redouane, référence du répertoire arabo-andalou, ou la Tunisienne Ghalia Benali, remarquée par ses reprises des chansons de la grande Dame… L’astre de l’Orient continue de briller avec éclat dans les âmes des chanteuses arabes, mais aussi d’éclairer la lanterne des hommes, comme le suggère la présence dans cette fresque musicale du chanteur égyptien Wael Sami El Kholy, du compositeur Arnaud Petit, des musiciens Daniel Yvinec, Vincent Artaud, Magic Malik…
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