« Sac au dos » en avant-première à l’IFC Yaoundé
Création de danse contemporaine d’Andreya Ouamaba et Florent Mahoukou (Congo-Sénégal)
Représentation
Le 16 Juin 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
IFC Yaoundé – 140 Avenue Hamadou Ahidjo, 513 Yaound Yaoundé – Cameroun
Tarifs : 2000 / 1000 FCFA (abonnés) ///
Horaires : 20h
Français
Sac au dos sera présenté en avant-première à l’IFC Yaoundé le samedi 16 juin 2012 à 20h, avant sa création au Tarmac à Paris à l’automne prochain.
Comme un rescapé, le danseur cherche à exorciser un passé douloureux, celui de la guerre civile congolaise, à cicatriser une blessure, dont son corps et sa tête ont gardé la mémoire… au plus profond. « Nous étions une soixantaine d’hommes, à genoux, sans question, donc aucune réponse. Sans savoir quoi, quoi dire, pourquoi et comment. Un sac au dos, une voie dans l’obscurité, un temps qui s’éteint, fixe devant moi, pas moyen de réagir, car nous sommes dans l’inaction et que le temps ne peut plus se compter, puisqu’il est resté immobile.»
Andréya Ouamba est congolais comme Florent Mahoukou. L’un vit à Dakar, où il a créé en 2000 la Compagnie 1er Temps. L’autre vit à Brazzaville, où il dirige sa compagnie, le Studio Maho, et le festival « Rue Dance ». Ils ont tous deux été lauréats des Rencontres Chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan Indien, plate-forme et tremplin de la plupart des chorégraphes africains à l’international.
Ils seront en résidence de création du 2 au 15 juin à Yaoundé, pour finaliser leur spectacle avant sa présentation au public camerounais. En parallèle, ils animeront un atelier de recherche et de formation pour danseurs et chorégraphes camerounais.
Sac au dos est coproduit par la compagnie 1er Temps à Dakar, le Studio Maho à Brazzaville, le Tarmac de la villette à Paris, l’Institut français du Congo à Brazzaville et l’Institut français du Cameroun à Yaoundé.
Comme un rescapé, le danseur cherche à exorciser un passé douloureux, celui de la guerre civile congolaise, à cicatriser une blessure, dont son corps et sa tête ont gardé la mémoire… au plus profond. « Nous étions une soixantaine d’hommes, à genoux, sans question, donc aucune réponse. Sans savoir quoi, quoi dire, pourquoi et comment. Un sac au dos, une voie dans l’obscurité, un temps qui s’éteint, fixe devant moi, pas moyen de réagir, car nous sommes dans l’inaction et que le temps ne peut plus se compter, puisqu’il est resté immobile.»
Andréya Ouamba est congolais comme Florent Mahoukou. L’un vit à Dakar, où il a créé en 2000 la Compagnie 1er Temps. L’autre vit à Brazzaville, où il dirige sa compagnie, le Studio Maho, et le festival « Rue Dance ». Ils ont tous deux été lauréats des Rencontres Chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan Indien, plate-forme et tremplin de la plupart des chorégraphes africains à l’international.
Ils seront en résidence de création du 2 au 15 juin à Yaoundé, pour finaliser leur spectacle avant sa présentation au public camerounais. En parallèle, ils animeront un atelier de recherche et de formation pour danseurs et chorégraphes camerounais.
Sac au dos est coproduit par la compagnie 1er Temps à Dakar, le Studio Maho à Brazzaville, le Tarmac de la villette à Paris, l’Institut français du Congo à Brazzaville et l’Institut français du Cameroun à Yaoundé.
Partager :
