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Soul Sisters Sessions’ Special Acoustic
avec Ayo, Phoebe et Dj pedro

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Honneur aux Femmes
Dans un esprit de continuité et d’évolution les ‘Soul Sisters Sessions’, rendent à nouveau hommage aux femmes.
A chaque concert, une seule et unique artiste se produira, nous offrant ainsi un moment privilégié durant lequel elle pourra présenter son travail et exprimer tout son art. Cette rencontre donnera ainsi l’occasion de découvrir des chanteuses de talent, connues ou en voie de le devenir. Le concert, composé de deux sets, sera introduit et cloturé par une sélection de DJs. Celle-ci comprendra 80% de voix feminines avec les morceaux qui ont marqués la grande histoire de la soul music, se déclinant également par la funk, l’afro-beat, le rap, le reggae…

Phoebe
L’adjectif qualitatif ne la qualifie pas. Que dire de cette artiste? Peut-être qu’elle incarne le talent dans tout ses états. La définir serait forcément réducteur. Peut-être est-elle cette créature hybride à mi-chemin entre Meshell Ndegeocello et Bjork? Sans doute limité pour une artiste qui revendique l’influence de Tom Waits autant qu’elle apprécie l’univers et le flow de Common. A l’écoute de sa voix, sous ses airs de Rickie Lee Jones, il est surprenant de constater que d’une silhouette si frêle puisse émaner une grain si chaud et si mature. La surprise est tout aussi grande lorsque l’on apprend que la femme est blanche, d’origine australienne, qu’elle a passé sa petite enfance dans la paisible région d’Aix-en-provence, lorsque ses parents, globe-trotters devant l’Eternel se décident finalement à s’installer à Londres. Phoebe a l’âme blues, c’est sûr, elle a quelque chose de Billie Holiday .Peut-être cette sincérité dans l’expression des sentiments les plus simples. On pourrait écrire des fleuves mais l’adjectif qualitatif ne la qualifie pas.

Ayo
La musique d’Ayo est un mix de soul, de folk, de reggae, de jazz et d’afro et cela sonne comme une unité naturelleLa demoiselle s’apelle Ayo traduction Yoruba de son prénom Joy (la joie). Le projet s’appelle « joyful », tant il est vrai qu’au-delà de l’indéniable talent de cette jeune prodige, la première chose qui touche est le soleil qui émane de son visage de femme-enfant éclairant ainsi encore un peu plus sa musique. En effet, entre sweet reggae et soul profonde, cette métisse germano-nigérianne de père Yoruba et de mère « gipsy » écrit les pages d’un nouveau courant de la soul. Depuis l’underground de Hamburg, son nom commence à beaucoup circuler dans les milieux mélomanes de Londres et de Paris. Quelques jours d’un séjour dans notre capitale lui ont déjà ouvert les portes du show bizz, une petite existence médiatique et un public qui répend l’information comme un amant passionné. A Londres, à l’aube de ses premiers concerts, une ribambelle de demandes de featurings sur différents projets sont en attente de sa voix et de ses charmes. Comme un écho, tout le monde parle de cette charmante silhouette et de sa musique aux réminiscences très personnelles de « soul « , de chanson et de « reggae », la fraîcheur en plus du haut (1,81 m) de ces vingt trois printemps, de sa voix, de sa guitare et de son piano.

Lien internet pour Ayo (démos, photos): http://ayo.iguanestudio.com
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