Salaam Kivu International Film Festival 2012
La 7e édition de la rencontre annuelle de Goma que les organisateurs se plaisent aussi à nommer le « Festival au pied du volcan » se tiendra du 6 au 15 juillet sur le thème « Ni wakati ! ».
Festival
du 06 au 15 Juillet 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Cinéma/TV
– République démocratique du Congo
Http://www.brazzaville-adiac.com
Français
« C’est le moment ! », traduction en langue française du thème exprimé en swahili est sans conteste la pensée du Salaam Kivu international film festival (Skiff) de se concentrer sur l’actualité de la RDC. En effet, tenant compte de « la récente expérience des élections présidentielle et législatives controversées de novembre dernier », la manifestation nourrit l’ambition « d’engager la population à agir pour des solutions positives afin de répondre aux problèmes locaux », indiquent les organisateurs Yole ! Africa et Alkebu film production.
Dès lors, ateliers et échanges organisés sur la présente thématique « aborderont les contributions tant contemporaines qu’historiques de la musique, de la danse et du cinéma à l’écriture et à l’interprétation de l’histoire africaine et plus particulièrement congolaises ». Plus que toute autre chose, les organisateurs ont prévu de présenter de la sorte « la phase finale d’une exploration de trois années consacrées au cinquantième anniversaire du Congo ».
Ce sera donc l’aboutissement du processus engagé lors du Skiff 2010. On se rappelle qu’à cette époque, la jeunesse avait été encouragée « à explorer le passé afin de cultiver une meilleure compréhension du présent et avec cette connaissance à se saisir de son avenir ». Parti sur cette base, le Skiff 2011 s’était focalisé essentiellement « vers la compréhension de la démocratie ». Le Skiff 2012 qui veut être perçu comme le « point culminant de cette série de trois ans » va, elle, « se dédier aux actions concrètes que la population peut prendre pour contribuer directement à l’ouverture d’une nouvelle voie vers le futur », souligne-t-on. Par ailleurs, la septième édition accordera une place, la troisième expérience du genre, à l’ « Approche de l’autre ». Il s’agit d’une sorte de dialogue initié par le Centre culturel Yole ! Africa où artistes locaux et organisations culturelles discutent sur la meilleure manière de « promouvoir la cohésion des efforts des artistes locaux ».
Dix jours de festival
Par-dessus tout, le Skiff demeure un festival qui s’emploie, en dix jours, à organiser une série de projections cinématographiques. La diffusion des films donne suite à des discussions ouvertes avec les spectateurs mais aussi à une série d’ateliers. Les sujets abordés tournent habituellement autour de l’édition et la production de vidéos, la création de clips, les techniques du son, la composition musicale et l’interprétation, la poésie et le conte, le hip hop et la danse contemporaine.
Le côté festif du Skiff est vivement ressenti au travers des concerts live et une compétition de danse. La programmation des évènements et activités de chaque édition s’étend sur un thème spécifique correspondant à la situation de la région. L’un des objectifs primordial du Skiff est de soutenir la formation aux métiers artistiques. De la sorte, il espère parvenir au mieux « améliorer le niveau de la production régionale tout en permettant aux jeunes talents locaux d’accéder à des opportunités de formation ».
Le Skiff se veut une réelle plate-forme dans le secteur et gagne en notoriété à la faveur d’échanges réalisés entre artistes œuvrant en solo ou réunis en collectifs mais aussi par le biais d’entités diverses de façon à contribuer largement à la promotion de l’expression culturelle.
Dès lors, ateliers et échanges organisés sur la présente thématique « aborderont les contributions tant contemporaines qu’historiques de la musique, de la danse et du cinéma à l’écriture et à l’interprétation de l’histoire africaine et plus particulièrement congolaises ». Plus que toute autre chose, les organisateurs ont prévu de présenter de la sorte « la phase finale d’une exploration de trois années consacrées au cinquantième anniversaire du Congo ».
Ce sera donc l’aboutissement du processus engagé lors du Skiff 2010. On se rappelle qu’à cette époque, la jeunesse avait été encouragée « à explorer le passé afin de cultiver une meilleure compréhension du présent et avec cette connaissance à se saisir de son avenir ». Parti sur cette base, le Skiff 2011 s’était focalisé essentiellement « vers la compréhension de la démocratie ». Le Skiff 2012 qui veut être perçu comme le « point culminant de cette série de trois ans » va, elle, « se dédier aux actions concrètes que la population peut prendre pour contribuer directement à l’ouverture d’une nouvelle voie vers le futur », souligne-t-on. Par ailleurs, la septième édition accordera une place, la troisième expérience du genre, à l’ « Approche de l’autre ». Il s’agit d’une sorte de dialogue initié par le Centre culturel Yole ! Africa où artistes locaux et organisations culturelles discutent sur la meilleure manière de « promouvoir la cohésion des efforts des artistes locaux ».
Dix jours de festival
Par-dessus tout, le Skiff demeure un festival qui s’emploie, en dix jours, à organiser une série de projections cinématographiques. La diffusion des films donne suite à des discussions ouvertes avec les spectateurs mais aussi à une série d’ateliers. Les sujets abordés tournent habituellement autour de l’édition et la production de vidéos, la création de clips, les techniques du son, la composition musicale et l’interprétation, la poésie et le conte, le hip hop et la danse contemporaine.
Le côté festif du Skiff est vivement ressenti au travers des concerts live et une compétition de danse. La programmation des évènements et activités de chaque édition s’étend sur un thème spécifique correspondant à la situation de la région. L’un des objectifs primordial du Skiff est de soutenir la formation aux métiers artistiques. De la sorte, il espère parvenir au mieux « améliorer le niveau de la production régionale tout en permettant aux jeunes talents locaux d’accéder à des opportunités de formation ».
Le Skiff se veut une réelle plate-forme dans le secteur et gagne en notoriété à la faveur d’échanges réalisés entre artistes œuvrant en solo ou réunis en collectifs mais aussi par le biais d’entités diverses de façon à contribuer largement à la promotion de l’expression culturelle.
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