Kithara
Un orchestre taarab de l’île de Zanzibar, pour la 1ère fois en tournée en Europe. Une musique qui instaure un autre rapport au temps.
Concert
Le 26 Novembre 2013
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Le Rocher De Palmer – 1 Rue Aristide Briand, 33152 Cenon – France
TARiF GUiCHeT : 12€ / PLeiN TARiF : 10€ 20h30
Français
/// OFFRE PARTENAIRE ////
À ne pas rater ! Rocher de Palmer, partenaire d’Africultures, vous offre 1×2 invitations pour le concert de Kithara, mardi 26 novembre. Pour participer, merci d’envoyer votre nom et prénom à l’adresse suivante : [email protected]
avec comme objet : Offre partenaire Africultures – Kithara
Date limite : 19 novembre 2013
L’équipe d’Africultures
(OFFRE RÉSERVÉE AUX ADHÉRENTS AFRICULTURES)
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Mosaïque où se rencontrent l’Afrique, l’inde, la Chine et le monde arabe, Zanzibar possède une musique scintillante de cette identité plurielle. C’est une mixture aux saveurs singulières, dans laquelle dialoguent chant, cordes, flûte nay, accordéon
et percussions. Parce qu’elle possède un irrésistible pouvoir de séduction, cette
musique, apparue à la fin du 19ème siècle dans l’entourage du sultan d’Oman, installé alors avec sa cour à Zanzibar, fut nommée taarab (« émoi », en arabe). elle connut ensuite une seconde naissance, quand la population locale la détourna, bousculant son côté introspectif par des accents plus enlevés et festifs.
À ne pas rater ! Rocher de Palmer, partenaire d’Africultures, vous offre 1×2 invitations pour le concert de Kithara, mardi 26 novembre. Pour participer, merci d’envoyer votre nom et prénom à l’adresse suivante : [email protected]
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Date limite : 19 novembre 2013
L’équipe d’Africultures
(OFFRE RÉSERVÉE AUX ADHÉRENTS AFRICULTURES)
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Mosaïque où se rencontrent l’Afrique, l’inde, la Chine et le monde arabe, Zanzibar possède une musique scintillante de cette identité plurielle. C’est une mixture aux saveurs singulières, dans laquelle dialoguent chant, cordes, flûte nay, accordéon
et percussions. Parce qu’elle possède un irrésistible pouvoir de séduction, cette
musique, apparue à la fin du 19ème siècle dans l’entourage du sultan d’Oman, installé alors avec sa cour à Zanzibar, fut nommée taarab (« émoi », en arabe). elle connut ensuite une seconde naissance, quand la population locale la détourna, bousculant son côté introspectif par des accents plus enlevés et festifs.
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