De la nécessité de l’Afro-féminisme en France [COMPLET]

Conférence-débat
Le 13 Février 2016
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Littérature / édition, Histoire/société, Interculturel/Migrations
Université Paris IV-Sorbonne, ACLF – 1, rue Victor Cousin, 75005 Paris – France
COMPLET /// Début de la conférence à 14h
Inscription obligatoire à [email protected]

Français
De la nécessité de l’Afro-féminisme en France, une conférence-débat organisée par l’ADEAS (l’Association des étudiants africains de la Sorbonne).
C’est à partir des années 60 que nait au sein du mouvement féministe nord-américain, en plein cœur de l’Amérique ségrégationniste, le féminisme noir. Digne héritier du mouvement des droits civiques, le féminisme noir se caractérise par une approche intersectionnelle visant à inclure les problématiques de race, de genre et de classe.
En France, ce mouvement émerge dès les années 70, à travers l’initiative de femmes étudiantes et militantes issues de la diaspora africaine qui ont pour ambition de se réunir en vue de recréer une « identité noire ».
Aujourd’hui, parler de sa pertinence en France revient à définir une ligne claire dans l’intemporel combat contre le racisme et la lutte pour l’égalité femme-homme : Dans quel contexte est apparu l’afro-féminisme en France? En quoi cette question est encore d’actualité ? Quelle est la place de ce mouvement aujourd’hui ?
Lydie Dooh-Bunya, fondatrice en 1981 du MODEFEN (Mouvement pour la défense des droits de la femme noire), Françoise Vergès, politologue et militante féministe antiraciste, Many Chroniques, enseignante certifiée d’histoire-géographie et auteure du blog Many Chroniques, Naya Ali, journaliste et vlogueuse afro-féministe, et enfin le collectif afroféministe Mwasi viendront toutes nous éclairer sur ces questions fondamentales.
C’est à partir des années 60 que nait au sein du mouvement féministe nord-américain, en plein cœur de l’Amérique ségrégationniste, le féminisme noir. Digne héritier du mouvement des droits civiques, le féminisme noir se caractérise par une approche intersectionnelle visant à inclure les problématiques de race, de genre et de classe.
En France, ce mouvement émerge dès les années 70, à travers l’initiative de femmes étudiantes et militantes issues de la diaspora africaine qui ont pour ambition de se réunir en vue de recréer une « identité noire ».
Aujourd’hui, parler de sa pertinence en France revient à définir une ligne claire dans l’intemporel combat contre le racisme et la lutte pour l’égalité femme-homme : Dans quel contexte est apparu l’afro-féminisme en France? En quoi cette question est encore d’actualité ? Quelle est la place de ce mouvement aujourd’hui ?
Lydie Dooh-Bunya, fondatrice en 1981 du MODEFEN (Mouvement pour la défense des droits de la femme noire), Françoise Vergès, politologue et militante féministe antiraciste, Many Chroniques, enseignante certifiée d’histoire-géographie et auteure du blog Many Chroniques, Naya Ali, journaliste et vlogueuse afro-féministe, et enfin le collectif afroféministe Mwasi viendront toutes nous éclairer sur ces questions fondamentales.
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