Soundway Records presents Vanishing Twin + The Héliocentrics
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Pour le fondateur de Soundway Records, Miles Cleret, la musique n’a ni frontières ni catégories : psych rock nigérian, électro cumbia colombienne, indie rock thaï sont aussi excitants que la musique américaine ou britannique.
Pionnier parmi les collectionneurs défricheurs, Miles Cleret fonde le label au retour d’un intense voyage au Ghana, en 2002. Sort alors la compilation Ghana Soundz : Afro-beat, Funk and Fusion in 70s Ghana, qui lancera le phénomène des compilations de raretés au long cours. Motivé par une soif insatiable de trouver des enregistrements hors-normes, notamment pour ses DJ sets, Miles Cleret pousse ses recherches sans cesse plus loin. Ethiopie, Bénin, Ghana, Colombie, Nigéria, Panama, Trinidad, Kenya ou encore Thaïlande, il dépoussière des pans entiers de musiques toujours plus excitantes.
Avec le succès de ces redécouvertes, Soundway a ouvert en 2012 un nouveau chapitre de son histoire en produisant des artistes contemporains, toujours dans le même esprit défricheur.
VANISHING TWIN
L’ensemble pop oblique Vanishing Twin s’est formé en 2015 autour d’un amour commun pour les instruments inhabituels, les disques insolites et l’irrésistible séduction de A Good Groove. Cathy Lucas, sa fondatrice, après avoir sorti sous le nom « Orlando » une série de cassettes conceptuelles sur son propre label RAM*, a formé un groupe et l’a nommé en hommage à sa vanishing twin (jumelle disparue), une soeur absorbée in utero. Elle est ensuite rejointe par la batteuse Valentina Magaletti (Tomaga, Shit and Shine, Raime, Neon Neon), le bassiste Susumu Mukai (alias Zongamin, producteur d’électro minimale), Phil MFU (Man From Uranus) pour s’occuper des sons bizarres, et le réalisateur et artiste visuel Elliott Arndt à la fl ûte et aux percussions. L’année dernière le groupe s’est associé au producteur Malcolm Catto (Heliocentrics, Gas Lamp Killer) pour envelopper ses chansons de couches d’obscurité subaquatique et d’étrangeté. Ce LP sortira en septembre 2016 sur Soundway. Soutenu par Gilles Peterson, The Quietus et Wire, le groupe a beaucoup joué en 2015, produisant des grooves mystiques et une euphonie ésotérique dans un show moitié sons travaillés et moitié délires improvisés.
The Heliocentrics
Pour The Heliocentrics, les genres ne veulent rien dire et les limites n’existent pas. Depuis leur première apparition sur l’album de DJ Shadow The Outsider en 2006, le groupe a sorti une série de disques se baladant du côté du jazz, du hip-hop, de la musique psychédélique, du krautrock et de la musique concrète, tout en collaborant avec de nombreux poids lourds comme Mulatu Astake ou Gaslamp Killer, et séduisant de prestigieux fans comme Madlib et feu David Axelrod. Le groupe, qui refuse de suivre le processus d’écriture typique et les structures génériques, fait appel à un solide savoir-faire pour façonner sa musique intuitivement et spontanément. Depuis sa naissance, la musique du groupe s’est créée majoritairement à partir d’improvisations live. Cette approche spontanée lui donne son propre son et sa propre identité, puisque rien n’est jamais écrit ni préparé. Le groupe, à l’origine instrumental, qui travaille dans son studio analogique vintage dans l’est de Londres, le Quatermass Sound Lab, s’offre une chanteuse sur ce quatrième album – une jeune Slovaque nommée Barbora Patkova. Cela donne un album qui entraîne le groupe, déjà solide et riche en termes de grooves et de rythmes, dans d’autres dimensions encore inexplorées.
The Heliocentrics ont trouvé un nouveau membre avec Babs, et également une nouvelle maison chez Soundway Records, après plusieurs années chez Now Again, fameux label de Los Angeles. Le groupe a récemment écrit la bande originale du documentaire sur le LSD, salué par la critique, The Sunshine Makers. The Heliocentrics ont également pour projet de faire un album avec Arkestra, et un autre avec Gaslamp Killer. Bref, en 2017 il sera impossible de passer à côté de ce groupe qui mérite déjà de faire partie des légendes.
Pionnier parmi les collectionneurs défricheurs, Miles Cleret fonde le label au retour d’un intense voyage au Ghana, en 2002. Sort alors la compilation Ghana Soundz : Afro-beat, Funk and Fusion in 70s Ghana, qui lancera le phénomène des compilations de raretés au long cours. Motivé par une soif insatiable de trouver des enregistrements hors-normes, notamment pour ses DJ sets, Miles Cleret pousse ses recherches sans cesse plus loin. Ethiopie, Bénin, Ghana, Colombie, Nigéria, Panama, Trinidad, Kenya ou encore Thaïlande, il dépoussière des pans entiers de musiques toujours plus excitantes.
Avec le succès de ces redécouvertes, Soundway a ouvert en 2012 un nouveau chapitre de son histoire en produisant des artistes contemporains, toujours dans le même esprit défricheur.
VANISHING TWIN
L’ensemble pop oblique Vanishing Twin s’est formé en 2015 autour d’un amour commun pour les instruments inhabituels, les disques insolites et l’irrésistible séduction de A Good Groove. Cathy Lucas, sa fondatrice, après avoir sorti sous le nom « Orlando » une série de cassettes conceptuelles sur son propre label RAM*, a formé un groupe et l’a nommé en hommage à sa vanishing twin (jumelle disparue), une soeur absorbée in utero. Elle est ensuite rejointe par la batteuse Valentina Magaletti (Tomaga, Shit and Shine, Raime, Neon Neon), le bassiste Susumu Mukai (alias Zongamin, producteur d’électro minimale), Phil MFU (Man From Uranus) pour s’occuper des sons bizarres, et le réalisateur et artiste visuel Elliott Arndt à la fl ûte et aux percussions. L’année dernière le groupe s’est associé au producteur Malcolm Catto (Heliocentrics, Gas Lamp Killer) pour envelopper ses chansons de couches d’obscurité subaquatique et d’étrangeté. Ce LP sortira en septembre 2016 sur Soundway. Soutenu par Gilles Peterson, The Quietus et Wire, le groupe a beaucoup joué en 2015, produisant des grooves mystiques et une euphonie ésotérique dans un show moitié sons travaillés et moitié délires improvisés.
The Heliocentrics
Pour The Heliocentrics, les genres ne veulent rien dire et les limites n’existent pas. Depuis leur première apparition sur l’album de DJ Shadow The Outsider en 2006, le groupe a sorti une série de disques se baladant du côté du jazz, du hip-hop, de la musique psychédélique, du krautrock et de la musique concrète, tout en collaborant avec de nombreux poids lourds comme Mulatu Astake ou Gaslamp Killer, et séduisant de prestigieux fans comme Madlib et feu David Axelrod. Le groupe, qui refuse de suivre le processus d’écriture typique et les structures génériques, fait appel à un solide savoir-faire pour façonner sa musique intuitivement et spontanément. Depuis sa naissance, la musique du groupe s’est créée majoritairement à partir d’improvisations live. Cette approche spontanée lui donne son propre son et sa propre identité, puisque rien n’est jamais écrit ni préparé. Le groupe, à l’origine instrumental, qui travaille dans son studio analogique vintage dans l’est de Londres, le Quatermass Sound Lab, s’offre une chanteuse sur ce quatrième album – une jeune Slovaque nommée Barbora Patkova. Cela donne un album qui entraîne le groupe, déjà solide et riche en termes de grooves et de rythmes, dans d’autres dimensions encore inexplorées.
The Heliocentrics ont trouvé un nouveau membre avec Babs, et également une nouvelle maison chez Soundway Records, après plusieurs années chez Now Again, fameux label de Los Angeles. Le groupe a récemment écrit la bande originale du documentaire sur le LSD, salué par la critique, The Sunshine Makers. The Heliocentrics ont également pour projet de faire un album avec Arkestra, et un autre avec Gaslamp Killer. Bref, en 2017 il sera impossible de passer à côté de ce groupe qui mérite déjà de faire partie des légendes.
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