SUCRE an ice cream for a nice crime
© Magalie Comoretto
Représentation
du 02 au 06 Décembre 2019
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique, Théâtre, Danse
STRASBOURG – France
=> Conférence -lecture
lundi 2 décembre à 19h30
Musée Vodou de Strasbourg
2 rue de Koenigshoffen – 67200 Strasbourg
entrée libre
/https://www.chateau-vodou.com/fr/table-ronde-autour-de-la-performance-sucre-an-ice-cream-for-a-nice-crime/
=> Pôle Sud CDCN- 1 rue de Bourgogne -67000 Strasbourg
Mardi 3 décembre à 20h30
Mercredi 4 décembre à 20h30
de 8€ à 22€
https://www.pole-sud.fr/component/flexicontent/item/1102-saison1920-abdoulaye-konate?Itemid=168
=> MAC Relais Culturel de Bischwiller
Vendredi 6 décembre
Représentations scolaire 10h et 14h
Tout public 20h30
http://www.mac-bischwiller.fr/agenda/sucre/
Français
Pièce chorégraphique pour 1 danseur , 1 comédien, 1 musicien.
Chorégraphie de Abdoulaye Trésor Konate
Cette troisième pièce chorégraphique de la Cie ATeKa fait référence au sucre, à son histoire, à la manière dont l’homme l’a transformé jusqu’à en faire un poison mondial qui nous tue à petit feu.
Nous avons interrogé l’histoire coloniale et industrielle du sucre. Par le théâtre, la danse et la musique, il s’agissait de forger un langage gestuel commun à partir duquel nous avons construit l’écriture chorégraphique. Elle traverse, anime et organise la rencontre entre les partitions de chaque interprète.
Dans leur séparation et à la recherche d’une verticalité perdue, ces figures disent, cèdent, rient, contournent, se rencontrent, se rejettent, se soutiennent.
À travers cette matière à priori agréable et rassurante, nous avons souhaité faire trace du voyage de la déportation de nos ancêtres vers le monde contemporain.
Chorégraphie de Abdoulaye Trésor Konate
Cette troisième pièce chorégraphique de la Cie ATeKa fait référence au sucre, à son histoire, à la manière dont l’homme l’a transformé jusqu’à en faire un poison mondial qui nous tue à petit feu.
Nous avons interrogé l’histoire coloniale et industrielle du sucre. Par le théâtre, la danse et la musique, il s’agissait de forger un langage gestuel commun à partir duquel nous avons construit l’écriture chorégraphique. Elle traverse, anime et organise la rencontre entre les partitions de chaque interprète.
Dans leur séparation et à la recherche d’une verticalité perdue, ces figures disent, cèdent, rient, contournent, se rencontrent, se rejettent, se soutiennent.
À travers cette matière à priori agréable et rassurante, nous avons souhaité faire trace du voyage de la déportation de nos ancêtres vers le monde contemporain.
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