Metropolis Art Cinema 2025
1ere édition des Ecrans du Sud
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Français
L’association Metropolis lance un nouveau festival de cinéma, South Screens (Écrans du Sud), axé sur des films rarement diffusés, venant de pays peu représentés sur les écrans. Placée sous le thème du « Shift », cette première édition aborde des contextes de crise, d’injustice et de bouleversements politiques, en cherchant à ouvrir de nouvelles perspectives à travers le cinéma.
Le festival n’inclut pas de compétition, mais privilégie l’échange et le dialogue. Il s’inscrit dans la continuité d’autres initiatives comme Écrans du Réel, consacré au documentaire. La programmation s’étale sur dix jours, avec plus de vingt films provenant de trente-cinq pays répartis sur quatre continents, incluant des œuvres arabes, africaines, asiatiques et latino-américaines.
Le film d’ouverture, I’m Still Here de Walter Salles (Brésil), retrace l’histoire d’Eunice Paiva, une femme confrontée à la répression de la dictature militaire dans les années 1970. Le récit s’inspire de faits réels issus de l’autobiographie de Marcelo Rubens Paiva.
Le festival n’inclut pas de compétition, mais privilégie l’échange et le dialogue. Il s’inscrit dans la continuité d’autres initiatives comme Écrans du Réel, consacré au documentaire. La programmation s’étale sur dix jours, avec plus de vingt films provenant de trente-cinq pays répartis sur quatre continents, incluant des œuvres arabes, africaines, asiatiques et latino-américaines.
Le film d’ouverture, I’m Still Here de Walter Salles (Brésil), retrace l’histoire d’Eunice Paiva, une femme confrontée à la répression de la dictature militaire dans les années 1970. Le récit s’inspire de faits réels issus de l’autobiographie de Marcelo Rubens Paiva.
English
The Metropolis Association is launching a new film festival, South Screens (Écrans du Sud), focused on films that are rarely shown and come from underrepresented countries. The first edition, under the theme « Shift, » addresses contexts of crisis, injustice, and political upheaval, aiming to explore new perspectives through cinema.
The festival is non-competitive and emphasizes exchange and dialogue. It is a continuation of previous initiatives such as Écrans du Réel, dedicated to documentaries. The ten-day program features more than twenty films from thirty-five countries across four continents, including Arab, African, Asian, and Latin American works.
The opening film, I’m Still Here by Walter Salles (Brazil), tells the story of Eunice Paiva, a woman facing government repression during Brazil’s military dictatorship in the 1970s. The film is based on the true story recounted in the autobiography of Marcelo Rubens Paiva.
The festival is non-competitive and emphasizes exchange and dialogue. It is a continuation of previous initiatives such as Écrans du Réel, dedicated to documentaries. The ten-day program features more than twenty films from thirty-five countries across four continents, including Arab, African, Asian, and Latin American works.
The opening film, I’m Still Here by Walter Salles (Brazil), tells the story of Eunice Paiva, a woman facing government repression during Brazil’s military dictatorship in the 1970s. The film is based on the true story recounted in the autobiography of Marcelo Rubens Paiva.
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