Événements

Les éditions Mémoire d’encrier
vous invitent à rencontrer ses auteurs au Salon du livre de Paris

Français

dimanche 19 mars 2006 de 16h00 à 19h00
Stand K 147 – Éditions Vents d’ailleurs

Dany Laferrière, Les années 80 dans ma vieille Ford, 2005, 196 p.
Comment devenir écrivain sans se fatiguer ? S’offrir une vieille Ford et sillonner l’Amérique, un calepin à la main. Écrire vite. Écrire à tout prix. Avec le regard impudent du jeune homme qui rêve de devenir écrivain. C’est Dany quand il n’était pas Laferrière. Les années 80 dans ma vieille Ford : histoires d’amour, d’amitié et d’exil d’un passionné des êtres et des choses.

Hédi Bouraoui, Transpoétique. Éloge du nomadisme, Essai, 2005, 170 p.
« Par transpoétique, nous voulons surtout signaler le trans/vasement des cultures qui se chevauchent, se croisent, s’entrecroisent, s’attirent et se repoussent dans un travail incessant qui crée un espace particulier du faire poétique. Ce travail symbiotique […] permet à chaque vecteur culturel d’établir des lignes de communication avec d’autres cultures… »

Paola Ghinelli, Archipels littéraires. Entretiens avec Chamoiseau, Condé, Confiant, Brival, Maximin, Laferrière, Pineau, Dalembert, Agnant, 2005, 152 p.
« On ne s’ennuie pas avec Paola Ghinelli. Elle sait poser les questions dérangeantes, décapantes même, et pousser les auteurs dans leurs derniers retranchements. Archipels littéraires est un régal pour le lecteur moyen et une mine pour le chercheur ».
Raphaël Confiant, La Tribune des Antilles.

Louis-Philippe Dalembert, Poème pour accompagner l’absence, Poème, 2005, 56 p.
Poème pour accompagner l’absence convoque la présence des absents. « Par à coups. Par petites touches de polissage. Dans la solitude et l’absence des rituels ancestraux. Dans le lointain des siens éclatés dans le monde ». Ce poème dit la douleur et la joie, la perte et la richesse.

Rodney Saint-Éloi, J’ai un arbre dans ma pirogue, Poème, 70 p.
Pourquoi ce poème ? Sinon pour dire l’absence qui engage la présence, le vide et l’angoisse d’une terre qui désapprend à être terre […] Au bout, il y a une pirogue… là-dedans des mots, comme un arbre qui voyage seul dans la forêt, un conte contrarié par un fusil.
Et si tout n’était qu’un grand arbre quelque part, debout dans la constance de la terre !

Alain Mabanckou, Tant que les arbres s’enracineront dans la terre […], Poème, 2003, 54 p.
qui en voudrait à l’oiseau migrateur de s’élever au-delà de son nid ne pas changer de nom d’embranchement rester homme jusqu’au bout tant que les arbres s’enracineront dans la terre.
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