Terrain vague
Par la la compagnie Käfig
Représentation
Le 15 Mai 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Passerelle (La) – 3 rue saint hubert, 75011 Paris –
à 20h30 au théâtre Louis Guilloux
Français
Une des compagnies les plus importantes du hip-hop français, la compagnie Käfig (cage en allemand et en arabe) ne cesse de renouveler le langage du hip-hop en le provoquant, en le détournant de son sens premier, avec une grande diversité chorégraphique, esthétique et scénographique.
Avec Terrain vague, le chorégraphe Mourad Merzouki revient à ses premières amours : le cirque. Sur scène, les danseurs et artistes de cirque qui composent la troupe ressemblent à des titis en goguette bien décidés à en découdre. A un rythme effréné, les cavalcades, virevoltes sur les mains, envolées des corps ne s’interrompent quasi jamais. Une danse énergique, dynamique et acrobatique sur une musique originale de AS’N, ornementée d’accents arabo-andaloux et parfois même musette.
En première partie de soirée, avec A qui la faute ? le chorégraphe Farid Azzout invente une rencontre entre le hip-hop et le tango argentin, sur une musique d’Astor Piazzola. Dans ce duo qu’il interprète lui-même avec la danseuse Barbara Andreis, les mouvements saccadés et ondulés se lient aux glissés, aux enjambées, le travail au sol devient complice d’un tango sur les genoux…
Avec Terrain vague, le chorégraphe Mourad Merzouki revient à ses premières amours : le cirque. Sur scène, les danseurs et artistes de cirque qui composent la troupe ressemblent à des titis en goguette bien décidés à en découdre. A un rythme effréné, les cavalcades, virevoltes sur les mains, envolées des corps ne s’interrompent quasi jamais. Une danse énergique, dynamique et acrobatique sur une musique originale de AS’N, ornementée d’accents arabo-andaloux et parfois même musette.
En première partie de soirée, avec A qui la faute ? le chorégraphe Farid Azzout invente une rencontre entre le hip-hop et le tango argentin, sur une musique d’Astor Piazzola. Dans ce duo qu’il interprète lui-même avec la danseuse Barbara Andreis, les mouvements saccadés et ondulés se lient aux glissés, aux enjambées, le travail au sol devient complice d’un tango sur les genoux…
Partager :