Littérature / édition
HISTOIRE | Février 2012
Ma guerre d’Algérie, au coeur des maquis de Kabylie (1954 – 1962)
Pays concerné : Algérie
Edition : Riveneuve Editions
Pays d’édition : France
ISBN : 978-2-36013-071-9
Pages: 381
Prix : 20.00
Parution : 23 Février 2012
Français
La vie de Yaha Abdelhafdh est un combat. Un combat pour l’Algérie. Pour elle, il a pris deux fois le maquis et vécu vingt-quatre années d’exil. Au soir d’une existence toute dévouée à la révolution démocratique et sociale, l’ancien dirigeant du Front des forces socialistes (FFS) se remémore, avec le concours du journaliste Hamid Arab et à la façon des hérauts antiques, la geste de la guerre d’Indépendance pleine de batailles, de bruits et de fureur en convoquant la liste des héros tombés, anonymes ou connus, que l’historiographie offcielle a pris soin de gommer. Car c’est là toute la thèse de Yaha Abdelhafdh : la joie de l’Indépendance a été de courte
durée et la révolution a très vite été confsquée. Pour Yaha Abdelhafdh, la seule élection véritablement démocratique que l’Algérie aura connue est le référendum de 1962 approuvant les accords d’Evian et la fn de la guerre avec la France.
Dans ce premier livre – un second volume suivra – l’auteur revient sur son premier maquis : son enfance dans les rudes montagnes de Kabylie, sa formation militante très tôt indépendantiste et ses combats contre l’armée française dans la wilaya III. Il décrit aussi les querelles internes qui minent le Gouvernement provisoire de la République algérienne jusqu’à la conférence de Tripoli de mai-juin 1962 où le clan
d’Ahmed Ben Bella et du colonel Houari Boumediene – le FLN extérieur – évince la résistance intérieure pour imposer un pouvoir sans partage à la tête du nouveau pays. Un témoignage d’un acteur de premier plan. Un document de première main.
durée et la révolution a très vite été confsquée. Pour Yaha Abdelhafdh, la seule élection véritablement démocratique que l’Algérie aura connue est le référendum de 1962 approuvant les accords d’Evian et la fn de la guerre avec la France.
Dans ce premier livre – un second volume suivra – l’auteur revient sur son premier maquis : son enfance dans les rudes montagnes de Kabylie, sa formation militante très tôt indépendantiste et ses combats contre l’armée française dans la wilaya III. Il décrit aussi les querelles internes qui minent le Gouvernement provisoire de la République algérienne jusqu’à la conférence de Tripoli de mai-juin 1962 où le clan
d’Ahmed Ben Bella et du colonel Houari Boumediene – le FLN extérieur – évince la résistance intérieure pour imposer un pouvoir sans partage à la tête du nouveau pays. Un témoignage d’un acteur de premier plan. Un document de première main.
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