Misterioso-119 de Koffi Kwahulé
Représentation
du 07 au 08 Février 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Jeune theatre national (JTN de Paris) – 13, rue des Lions Saint-Paul, 75004 Paris – France
Lundi 7 février à 18h et Mardi 8 février à 15h- Durée 1h – Entrée libre sur réservation au 01.48.04.86.40.
Français
Conception et mise en scène Nadine Baier et Ludmilla Dabo
Avec la complicité de Koffi Kwahulé.
Deux femmes. Un piano. Noir et blanc. Comme deux notes de musique. Une voix. Deux corps.
Une solitude, un corps, une voix jaillissent. Un être est emprisonné. Une autre présence se développe, s’affirme : on se recueille, on se dévoile, on se révèle, on s’initie.
Une seule et même parole met en jeu des actes irréversibles : on se possède, on se soumet, on s’affranchit.
Théâtre pulsionnel, organique.
Dans le tumulte de la solitude et de la transgression, le rêve et la fantaisie ne cherchent pas le repentir.
Jusqu’où peut aller un corps ? Que peut-on supporter par rapport au corps d’autrui ?
Comment aborder la parole ? Comment notre parole se place t-elle dans le monde ?
Comment aborder l’Autre sans idée préconçue ?
Au cœur de Misterioso-119 s’inscrit le désir du langage, le désir de l’échange et l’identité en partage. Koffi Kwahulé fait valser son écriture autour d’un morceau de jazz, le Misterioso de Thelonious Monk. Il semble ainsi nous dire : « La parole, c’est ma musique ; Le ton de ma voix, mon son, c’est mon identité ».
A la manière d’un free-jazzman, l’acteur peut alors improviser. Il cherche un corps à la langue, à cette langue abrupte et lancinante que la musique de Monk et la férocité des voix que Kwahulé anime suscitent en lui.
Avec la complicité de Koffi Kwahulé.
Deux femmes. Un piano. Noir et blanc. Comme deux notes de musique. Une voix. Deux corps.
Une solitude, un corps, une voix jaillissent. Un être est emprisonné. Une autre présence se développe, s’affirme : on se recueille, on se dévoile, on se révèle, on s’initie.
Une seule et même parole met en jeu des actes irréversibles : on se possède, on se soumet, on s’affranchit.
Théâtre pulsionnel, organique.
Dans le tumulte de la solitude et de la transgression, le rêve et la fantaisie ne cherchent pas le repentir.
Jusqu’où peut aller un corps ? Que peut-on supporter par rapport au corps d’autrui ?
Comment aborder la parole ? Comment notre parole se place t-elle dans le monde ?
Comment aborder l’Autre sans idée préconçue ?
Au cœur de Misterioso-119 s’inscrit le désir du langage, le désir de l’échange et l’identité en partage. Koffi Kwahulé fait valser son écriture autour d’un morceau de jazz, le Misterioso de Thelonious Monk. Il semble ainsi nous dire : « La parole, c’est ma musique ; Le ton de ma voix, mon son, c’est mon identité ».
A la manière d’un free-jazzman, l’acteur peut alors improviser. Il cherche un corps à la langue, à cette langue abrupte et lancinante que la musique de Monk et la férocité des voix que Kwahulé anime suscitent en lui.
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