Murmures
FICA : projection du film Sud-Africain Au-delà des lignes ennemies : Les raisons du combat anti-apartheid
décembre 2013 | Sortie de film, livre, album… | Cinéma/TV | Algérie
Source : El Moudjahid
© DR
Français
par Kader Bentounès /// El Moudjahid
Dans le cadre de la 4e édition du festival international du cinéma d’Alger (FICA), le long métrage de fiction, du Sud-Africain K. Lentswe Serote, Au-delà des lignes ennemies, a été projeté, vendredi soir, à la salle El Mouggar d’Alger.
Nombreux sont les cinéphiles qui sont venus découvrir le septième art sud-africain à travers le premier long métrage de fiction du jeune réalisateur K. Lentswe Serote, que le public a longuement applaudi à la fin de la projection.
Au-delà des lignes ennemies met en scène Joan, jeune fille d’un riche fermier blanc, curieuse et aventureuse, vivant dans l’ignorance de ce qui se passe au pays. Mais son destin bascule lorsqu’elle découvre du jour au lendemain que son père et son fiancé sont des tortionnaires et impliqués dans des crimes politiques.
Elle éprouve de la compassion pour la bonne qu’elle a toujours considéré comme sa mère, avec notamment l’avènement d’un militant de la cause anti-apartheid dans la chambre de la bonne. Ironie du sort, une passion se lie entre Joan et le militant au point de lui sauver la vie et de quitter le manoir avec lui. Le film à forte émotion déborde cependant de scènes comiques.
Cette projection coïncide avec la perte d’une figure emblématique des droits de l’homme, Nelson Mandela, que le monde entier regrette.
LIRE L’INTÉGRALITÉ sur Elmoudjahid.com
Nombreux sont les cinéphiles qui sont venus découvrir le septième art sud-africain à travers le premier long métrage de fiction du jeune réalisateur K. Lentswe Serote, que le public a longuement applaudi à la fin de la projection.
Au-delà des lignes ennemies met en scène Joan, jeune fille d’un riche fermier blanc, curieuse et aventureuse, vivant dans l’ignorance de ce qui se passe au pays. Mais son destin bascule lorsqu’elle découvre du jour au lendemain que son père et son fiancé sont des tortionnaires et impliqués dans des crimes politiques.
Elle éprouve de la compassion pour la bonne qu’elle a toujours considéré comme sa mère, avec notamment l’avènement d’un militant de la cause anti-apartheid dans la chambre de la bonne. Ironie du sort, une passion se lie entre Joan et le militant au point de lui sauver la vie et de quitter le manoir avec lui. Le film à forte émotion déborde cependant de scènes comiques.
Cette projection coïncide avec la perte d’une figure emblématique des droits de l’homme, Nelson Mandela, que le monde entier regrette.
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