Murmures

Les Ex ne meurent jamais
février 2017 | Sortie de film, livre, album… | Littérature / édition | France
Source : Christophe Havot

Français

Parution – Roman – Mars 2017
Le livre

         À travers une écriture désarticulée et libre, pleine d’humour et de tendresse, le nouveau roman d’Éric Essono Tsimi explore la question des frontières : celles qu’on traverse et celles qu’on repousse, celles qu’on porte ou celles qu’on interroge.

         Le narrateur, Josh Minala (dit Oréo), blanc à l’intérieur, noir d’apparence, nous entraîne dans ces lieux qu’on quitte mais qui continuent de nous habiter, ces ex toujours devant soi, ces buts dont on n’atteint que les chemins.

        

       L’auteur

         D’origine camerounaise, formé au Canada, en Suisse et en France, Éric Essono Tsimi enseigne la langue française au département de français de l’Université de Virginie aux Etats-Unis.            

Son prochain roman, L’origine du Mal, a bénéficié d’une bourse d’écriture du CNL.

 

     Déjà parus :

     Le jeu de la vengeance (Théâtre)  Sopecam, 2004

     Saute, tu cales en l’air (Nouvelles) Diasporas noires, 2011

     Le métier d’aimer (Roman) L’Harmattan, 2012

     Le principe de double nationalité au Cameroun (Essai) L’harmattan, 2013

     Migrants Diaries (Roman) Acoria, 2014

 

 

       L’éditeur

         Az’Art atelier Editions est basé à Toulouse et défend “littérature libre, écrits singuliers, textes inclassables et autres curiosités”.

         La collection L’Orpailleur, dirigée par Christophe Havot, publie au coup de coeur trois ou quatre “pépites” par an.

 

  

       Pour en savoir plus

         “Si le Az’art vous en dit”: www.azartatelier-editions.com 

         Pour sonder la mine de l’orpailleur : www.lorpailleur-edition.com

         Une autre façon de découvrir la pépite : www.facebook.com/essonotsimi

 

       4ème de couverture

         Certains passages m’ont fait hurler de rire. D’autres juste sourire et de très beaux passages m’ont donné matière à réfléchir. Le ton décalé, le rythme qui s’accélère, voire s’affole, le second degré, l’ostentation assumée. C’est très difficile à réussir, un vrai défi. L’auteur le relève bien. La langue est belle, classique et maîtrisée, alors elle peut se permettre des dérapages contrôlés. En filigrane, il y a la tristesse de l’exil, les premières fois initiatiques, les inoubliables premiers émois, un Yaoundé mythifié, l’adolescence et ses affres, la position décalée, à la fois avide et critique, de l’intellectuel.

Y.M.

 

        

L’ouvrage et les visuels sont disponibles en service de presse aux formats papier et numérique, sur simple demande. 

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