Murmures

Ammar Kessab : « Il ne faut pas confondre réguler et entreprendre »
février 2012 | Faits de société | Histoire/société | Algérie

Français

Si le nombre des activités culturelles a atteint dans le pays un seuil que nombre d’observateurs disent n’avoir pas enregistré depuis de longues années, l’embellie reste pour certains néanmoins soumise à de nombreux questionnements, notamment ceux relatifs à la nécessité de faire de la culture un « objet social » accessible au plus grand nombre, dans une société qui tourne souvent le dos au « beau » et doute de son identité, même quand celle-ci est fondée sur un patrimoine des plus anciens, des plus diversifiés et des plus riches de la sphère maghrébine et méditerranéenne. Sérieuses interrogations donc, qui montrent combien la problématique de la culture demeure complexe et difficilement réductible à un ou deux paramètres dont celui, par exemple, des moyens mobilisés. Pour en discuter, sans doute faut-il un large et profond débat, et surtout satisfaire la nécessité d’écouter toutes les voix porteuses d’avis, de réflexion et de propositions sur le sujet. Dans cet entretien, Ammar Kessab explique la démarche du groupe de travail dont il fait partie et qui souhaite doter l’Algérie d’une politique culturelle où le citoyen serait placé au centre de l’action culturelle.

Lire l’intégralité de l’entretien de Sara Kharfi paru sur le site [www.liberte-algerie.com]
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