Murmures

La presse écrite se porte bien en Algérie
juin 2012 | Divers | Média | Algérie
Source : Internet

Français

La presse algérienne compte une centaine de quotidiens arabophones et francophones. Un journal en arabe s’est taillé la part du lion.
Comme les soap-operas brésiliens, pourfendus publiquement mais regardés subrepticement, le journal Echourouk -qui s’offre déjà une télévision avant même que la loi sur l’audiovisuel ne soit élaborée- suscite des sentiments contradictoires en Algérie.

Pour les francophones, il est l’incarnation du mal algérien. Pour les arabophones, il est le niveau le plus bas, « trash », dans lequel le système veut les maintenir.

La ligne du journal ? Islamiste ? Trash ? Conservateur ? Une proposition en forme de boutade recueille une majorité de suffrage: « islamo-lubrique ». Retour sur un journal qui a gagné les « esprits » en Algérie tout en suscitant de profondes et solides antipathies.

Echourouk, un journal à grand tirage

Dans le foisonnement totalement antiéconomique mais éminemment politique de la presse écrite algérienne (une centaine de quotidiens arabophones et francophones) le journal Echourouk tient le haut du pavé avec, selon les chiffres publiés en février dernier, un tirage de 512 671 exemplaires suivi par El-Khabar (397 468), Ennahar (364 324) et, loin derrière, les journaux francophones, El Watan (134 163) et le Quotidien d’Oran (107 000).

[…]

Lire l’intégralité de l’article de Lakhdar Benchiba sur le portail Slate Afrique (en lien).
Partager :