Fiche Personne
Poésie / Conte
Joseph Kokou Koffigoh
Poète
Togo
Français
Né en 1948 à Kpélé-Dafo au Togo, Joseph Kokou Koffigoh a fait des études de droit à l’Université de d’Abidjan en Côte d’Ivoire et de Poitiers en France. .
Koffigoh est écrivain poète, il a publié deux recueils en 2010 et 2011, édités par les Nouvelles Editions Ivoiriennes.
Koffigoh a donc transposé son courage politique, dans le domaine de la création poétique et transcendé les craintes et les doutes selon son préfacier Edem Kodjo. Ceci pour inviter le lecteur à un nouveau voyage à travers l’Afrique de sa passion, au travers de son cœur que fertilisent ses amours, pour Dieu, pour le prochain, les villes et les campagnes, la femme « cette rose noire », mais aussi toutes « ces reines et princesses », en chair ou allégoriques qui peuplent sa vision et son imaginaire.
Après « l’Epopée des Eléphants » qui peut être considéré comme un cadeau d’anniversaire aux Africains en quête de liberté de paix et de dignité, « la Passion des Eperviers » vient mettre en déroute les agresseurs du continent, ceux de la forêt de Cabinda et surtout contribuer à la renaissance de l’art poétique sur cette « terre des arts premiers ».
Koffigoh est écrivain poète, il a publié deux recueils en 2010 et 2011, édités par les Nouvelles Editions Ivoiriennes.
Koffigoh a donc transposé son courage politique, dans le domaine de la création poétique et transcendé les craintes et les doutes selon son préfacier Edem Kodjo. Ceci pour inviter le lecteur à un nouveau voyage à travers l’Afrique de sa passion, au travers de son cœur que fertilisent ses amours, pour Dieu, pour le prochain, les villes et les campagnes, la femme « cette rose noire », mais aussi toutes « ces reines et princesses », en chair ou allégoriques qui peuplent sa vision et son imaginaire.
Après « l’Epopée des Eléphants » qui peut être considéré comme un cadeau d’anniversaire aux Africains en quête de liberté de paix et de dignité, « la Passion des Eperviers » vient mettre en déroute les agresseurs du continent, ceux de la forêt de Cabinda et surtout contribuer à la renaissance de l’art poétique sur cette « terre des arts premiers ».
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