Fiche Personne
Musique
Ismaël Wonder
Chanteur/euse, Auteur-compositeur/trice
Côte d’Ivoire
Français
De son vrai nom Issimaïla CISSE, ce jeune artiste ivoirien est né à Sakassou, village de la reine Abla Pokou. Dès son plus jeune âge, Ismaël aime la musique, et plus particulièrement le reggae qui représente à ses yeux la sagesse africaine.
Entre 10 et 15 ans, il commence son apprentissage musical dans la rue. En 1991, contre l’avis de sa famille, il part seul tenter sa chance à Abidjan. Sa persévérance sera récompensée car en 1993, il sort son premier album reggae « Générations ». Un titre de cet album « Ka ben kélé man » (parlant de l’entente entre les peuples) lui permet de faire la connaissance d’Amadou Toumani Touré, instaurateur de la démocratie au Mali. De cette rencontre naît en lui un intérêt profond pour la culture et les traditions maliennes.
En 1996, c’est la sortie de son deuxième album « Tché té mousso té » (ni homme ni femme). Ce titre est la réponse à une question qui le fait venir en France en 1998 pour enregistrer « Toubi » (le repentir), album dans lequel il varie les styles musicaux, faisant se côtoyer reggae et mélodie africaines traditionnelles.
A Paris, il commence à s’intéresser à la guitare. C’est une vraie révélation pour lui ! Cet instrument lui ouvre de nouveaux horizons quant à ses compositions musicales. En 2004, il fait la rencontre de musiciens avec lesquels il enregistre son nouvel album « Pharaon ». Il a alors l’occasion de mêler des instruments traditionnels (ngoni, tamani, flûte guinéenne, djembé?) à d’autres sonorités plus modernes. De même, on retrouve ce mélange dans ses mélodies qui nous font voyager à travers le sahel, de la Côte d’Ivoire au Mali, en passant par la Guinée?
Amoureux des brassages culturels et musicaux, Ismaël compose déjà les morceaux d’un prochain album, lui apportant grâce à sa guitare, une touche plus intime et acoustique.
Entre 10 et 15 ans, il commence son apprentissage musical dans la rue. En 1991, contre l’avis de sa famille, il part seul tenter sa chance à Abidjan. Sa persévérance sera récompensée car en 1993, il sort son premier album reggae « Générations ». Un titre de cet album « Ka ben kélé man » (parlant de l’entente entre les peuples) lui permet de faire la connaissance d’Amadou Toumani Touré, instaurateur de la démocratie au Mali. De cette rencontre naît en lui un intérêt profond pour la culture et les traditions maliennes.
En 1996, c’est la sortie de son deuxième album « Tché té mousso té » (ni homme ni femme). Ce titre est la réponse à une question qui le fait venir en France en 1998 pour enregistrer « Toubi » (le repentir), album dans lequel il varie les styles musicaux, faisant se côtoyer reggae et mélodie africaines traditionnelles.
A Paris, il commence à s’intéresser à la guitare. C’est une vraie révélation pour lui ! Cet instrument lui ouvre de nouveaux horizons quant à ses compositions musicales. En 2004, il fait la rencontre de musiciens avec lesquels il enregistre son nouvel album « Pharaon ». Il a alors l’occasion de mêler des instruments traditionnels (ngoni, tamani, flûte guinéenne, djembé?) à d’autres sonorités plus modernes. De même, on retrouve ce mélange dans ses mélodies qui nous font voyager à travers le sahel, de la Côte d’Ivoire au Mali, en passant par la Guinée?
Amoureux des brassages culturels et musicaux, Ismaël compose déjà les morceaux d’un prochain album, lui apportant grâce à sa guitare, une touche plus intime et acoustique.
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