Fiche Personne
Photo Média

Fidisoa Ramanahadray

Photographe, Opérateur/trice culturel/le
Madagascar

Français

Fidisoa Ramanahadray, 49 ans, artiste photographe, créateur, promoteur et organisateur du Mois de la photo.
Il a commencé sa carrière de photographe freelance en autodidacte en 1981, devenu successivement photo-journaliste et photographe de la danse contemporaine.
À force de ténacité, d’études et de recherches personnelles il est devenu formateur spécialiste en sténopé, notamment au Studio National des Art Contemporains Le Frenoy à Lille – France en partenariat avec « Le Grand Bleu ».
Il a collaboré avec divers organismes comme le Centre Culturel Américain (CCA), le Centre Culturel Albert Camus (CCAC), le Cercle Germano-malgache (CGM), le PNUD, l’UNICEF, Médecins du monde, les Alliances Françaises, le Projet Art Mada, Conservation Internationale et aussi avec des photographes de renoms tels que Philippe Bachelier, Bernard Decamps, Olivier Cullmann, Antoine Tempe, Beat Presser, John Fleetwood, Julien Autran, Pierrot Men, Toussaint Raharison, Ramily, Dany Be, Maksim Seth ?.
Il a décroché plusieurs prix :
– Le premier prix au concours des Meilleurs reporters journalistiques Malgaches en 2001.
– Le Prix Ansel Adams offert par l’ambassade Américaine à Madagascar en 2004
– Le Grand prix du Portrait d’artiste lors de la première biennale de l’Océan Indien récompensé de deux stages à Arles-France en 2005.
– Le premier prix au concours organisé, le 3 mai 2009 (dans le cadre de la journée mondiale de la liberté de la presse) par le Club des Journalistes Doyens (CJD)
– Lauréat de la biennale africaine de la photographie : rencontre de Bamako 2009 « Frontières »

Il dirige également l’association « Sténop’Art » qui a édité en 2010 un livre trilingue et produit un film documentaire en trois versions (Malagasy, Français et Anglais) intitulé « Mafonja », un reportage sur les droits de prisonniers à Madagascar.
Il ambitionne de devenir un grand professionnel en la matière, de partager son expérience et son savoir-faire en souhaitant la création d’une école d’art photographique encore inexistante à Madagascar.
Partager :