Fiche Personne
Danse
Histoire/société
© Taïgué Ahmed
Ahmed Taïgué
Chorégraphe
Tchad
© Taïgué Ahmed
Site web : www.ndamsena.org
Français
Formé à la danse traditionnelle dès lʼâge de 13 ans, Taïgué Ahmed intègre la Compagnie « Jeunes Tréteaux » du chorégraphe tchadien Hyacinthe Abdoulaye Tobio en 2002. Il interprète la création LʼOmbre de Dieu disparu, et participe aux 5e Rencontres Chorégraphiques de lʼAfrique et de lʼOcéan Indien à Madagascar.
Taïgué Ahmed a découvert la danse contemporaine au cours dʼateliers animés à NʼDjamena en 2003 par Julie Dossavi (chorégraphe française dʼorigine béninoise). Il perfectionne sa formation à lʼÉcole des Sables de Germaine Acogny au Sénégal et au Centre National de la Danse de Pantin en France, avant de devenir lui-même formateur en danse à NʼDjamena.
Artiste définitivement engagé, Taïgué Ahmed dirige lʼassociation Ndam Se Na, qui signifie « dansons ensemble ». Créée en 2005, elle a pour objectif dʼenseigner la danse pour lutter contre la violence en
en faisant un outil pédagogique et dʼenseignement.
Dans ce cadre, Taïgué Ahmed anime plusieurs ateliers auprès de jeunes des quartiers défavorisés de NʼDjamena et fait partager son expérience aux réfugiés centrafricains et soudanais.
À chaque présentation de son spectacle solo Crache ton histoire, il en profite pour animer des ateliers, comme en Mauritanie et en Guinée équatoriale, où il a passé en 2010 une semaine à lʼÉcole des Enfants Malades du Sida.
Dernièrement, il a présenté en décembre 2011 son travail au théâtre de Briançon.
Taïgué Ahmed a découvert la danse contemporaine au cours dʼateliers animés à NʼDjamena en 2003 par Julie Dossavi (chorégraphe française dʼorigine béninoise). Il perfectionne sa formation à lʼÉcole des Sables de Germaine Acogny au Sénégal et au Centre National de la Danse de Pantin en France, avant de devenir lui-même formateur en danse à NʼDjamena.
Artiste définitivement engagé, Taïgué Ahmed dirige lʼassociation Ndam Se Na, qui signifie « dansons ensemble ». Créée en 2005, elle a pour objectif dʼenseigner la danse pour lutter contre la violence en
en faisant un outil pédagogique et dʼenseignement.
Dans ce cadre, Taïgué Ahmed anime plusieurs ateliers auprès de jeunes des quartiers défavorisés de NʼDjamena et fait partager son expérience aux réfugiés centrafricains et soudanais.
À chaque présentation de son spectacle solo Crache ton histoire, il en profite pour animer des ateliers, comme en Mauritanie et en Guinée équatoriale, où il a passé en 2010 une semaine à lʼÉcole des Enfants Malades du Sida.
Dernièrement, il a présenté en décembre 2011 son travail au théâtre de Briançon.
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