Tous les articles en lien avec Abdelkader Lagtaâ
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Le corps est-il soluble dans la narration ?Publié le 16/09/2004 Cinéma/TV AnalyseRéaliser un film au Maroc a toujours été une entreprise à risque qui induit une responsabilité plus ou moins lourde et qui se transforme parfois, pour ne pas dire souvent, en une frustration plus ou moins douloureuse.Dès…
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Face à facePublié le 04/12/2003 Cinéma/TV CritiqueFace à face est un film qui intéresse. D’abord parce qu’il nous parle politique sans pancartes ni grand discours, ni même ces conversations pesantes où les protagonistes se disent ce que le réalisateur voudrait nous dire…
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Au-delà des discoursPublié le 04/12/2003 Cinéma/TV EntretienFace à face est une production entièrement marocaine. Oui, le film a été présenté au Fonds Sud et à l’ADC Sud, fonds d’aide de l’Etat français aux cinémas du Sud, est arrivé à chaque fois à la session plénière mais n’a …
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Amiens 2003 : l’Algérie et les femmesPublié le 04/12/2003 Cinéma/TV Reportage/festivalsSe déroulant du 7 au 16 novembre 2003, le festival international du film d’Amiens a donné à voir tout ce que les cinématographies algérienne et autres comportent sur le rapport des femmes algériennes avec leur pays. Et c…
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entretien d’Olivier Barlet avec Abdelkdader Lagtaâ (Maroc)Publié le 01/09/2002 Cinéma/TV EntretienVous abordez des sujets graves avec une grande légèreté. Est-ce votre caractère ou un choix particulier? Le ton de mes deux films précédents, Un amour à Casablanca et La Porte close, était assez dramatique, effleurant p…
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Les CasablancaisPublié le 31/05/1999 Cinéma/TV CritiqueInquiétude et dérision. Pour donner la mesure des contradictions d’une population cernée par les dangers, Lagtaâ utilise habilement les ficelles de la comédie et du suspense. Une convocation au commissariat de police plo…
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entretien d’Olivier Barlet avec Abdelkader LagtaâPublié le 31/05/1999 Cinéma/TV EntretienVous abordez des sujets graves avec une grande légèreté. Est-ce votre caractère ou un choix particulier? Le ton de mes deux films précédents, Un amour à Casablanca et La Porte close, était assez dramatique, effleurant p…