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Tous les articles en lien avec Réponse d’Alain Mabanckou à Jean-Luc Raharimanana

  • « Le code noir »
    Jamais mon train n’aura ressemblé à celui d’un touriste. Paris… Chaque bâtisse me paraît étrangère, et pour peu qu’un automobiliste klaxonne devant mon égarement, je retrouve enfin mes marques dans cette ville. Je n’ose…
  • Raharimanana, quel qu’en soit le prix…
    Cher Jean-Luc, L’article de Nimrod  » Le fol amour de soi « , publié sous la rubrique  » Rebonds  » d’Africultures, a fait référence à ma contribution intitulée  » Ce soir vous lirez Quignard ou Raharimanana  » parue sur ce s…
  • Divagations pendant un hiver au Michigan
    Musique congolaise : des titres d’album et des chansons en  » franlingala  » Il y a donc la neige. On aurait dit des montagnes tombées du ciel par une opération du Saint-Esprit. Si tant est que le Saint-Esprit daigne enco…
  • Comment faire passer un roman pour une « suite » d’un autre ?
    J’avais toujours cru que lorsqu’un écrivain achevait un roman, il disait adieu à ses personnages – même si par la suite ceux-ci composeraient cette globalité de l’œuvre que d’aucuns appellent univers. Seules les sagas, l…
  • Le vol de la Tempête
    Cher Alem, Ton article (L’idéal dans une bibliothèque ?, publié sur le site d’Africultures) me fait énormément de bien. Tu n’es pas sans savoir qu’en 2002, exactement le 16 juin 2002, les militaires et autres milices on…
  • Ce soir vous lirez Quignard ou Raharimanana
    Dès lors qu’une oeuvre est réputée difficile d’accès, on a vite fait de parler de la vie de l’auteur, de ce qu’il aime, de ce qu’il déteste, de ses coups de gueule, de ses coups de cœur, de ses combats etc. On lui accord…
  • Verre cassé
    que l’heure était désormais à l’écrit parce que c’est ce qui reste, la parole c’est de la fumée noire, du pipi de chat sauvage A. M. » La conversation de la mémoire  » De fait, les écrivains devraient aborder les questio…
  • Kourouma avait raison : la politique est une affaire de bêtes sauvages
    Le barbu le plus célèbre du monde L’Amérique a redonné un mandat de quatre ans au Républicain George W. Bush. Le monde peut respirer. La chaîne CNN l’a écrit « America has spoken ». Voilà déjà une chose de faite. Et puis,…
  • et moi aussi je ne sais rien de cette île
    et moi aussi je ne sais rien de cette île, mais c’est pas grave, je vous demande pardon, et moi aussi je ne sais rien de ce peuple, c’est impardonnable, mais on ne peut pas tout savoir, veuillez accepter mes excuses, et …
  • Sortir des bois
    Raharimanana réagit à la « Correspondance » d’Alain Mabanckou, « L’Amérique noire à N’Djaména », parue dans le n°57 d’Africultures.Bien cher Alain, Je n’irai pas par quatre chemins – on se connaît trop pour prendre des déto…
  • « Faire le choix de l’inconscience »
     » L’engagement doit faire en sorte que l’écriture reprenne sa place capitale, sa place centrale : le plaisir des mots, des idées, de la langue « , affirme Jean-Luc Raharimanana. Pour cet auteur malgache, l’engagement s’es…
  • Paroles engagées, Paroles engageantes
    Ecrire aujourd’hui est-ce différent d’écrire hier ou d’écrire demain ? Ecrire aujourd’hui est-ce plus une passion, une nécessité ou un devoir ? Et pour qui écrire ? Et quoi écrire ? Et pourquoi écrire ? Et comment…
  • Espèces d’Africains !
    Sami Tchak, écrivain togolais dont j’enseignais un des romans, Place des fêtes, vint rencontrer mes étudiants à Ann Arbor, dans l’Etat du Michigan. Au-delà de cette rencontre académique, nous vécûmes, lui et moi, une exp…
  • Ecrivains-voyageurs, écrivains engagés
    Après le projet  » Ecrire par devoir de mémoire  » de Fest’Africa et le nouveau Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora de N’Djamena, le thème de l’engagement, indissociable de l’histoire de la littérature africa…
  • Fenêtre sur l’Amérique (5)
    Voilà que j’avais décidé de passer les fêtes de fin d’année 2003 à Douala, au Cameroun, un pays que j’avais déjà visité six mois plus tôt à l’occasion de l’opération Portes d’Afrique initiée par le quotidien Le Figaro… …
  • La dernière image
    J’ai rencontré pour la première fois Ahmadou Kourouma il y a une dizaine d’années. A l’époque je venais de publier mon deuxième recueil de poèmes, L’Usure des lendemains. Kourouma était de passage à Paris pour un salon d…
  • Réponse d’Alain Mabanckou à Jean-Luc Raharimanana
    Cher Jean-Luc, C’est avec un grand intérêt que je prends connaissance de ta réaction quant à la chronique que j’ai publiée récemment dans Africultures concernant le Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora, con…
  • Jean-Luc Raharimanana
    Bien cher Alain, Je n’irai pas par quatre chemins –on se connaît trop pour prendre des détours –, pour te dire que j’ai été très surpris par ta dernière chronique à Africultures. Je n’ai pas l’intention de contester ta…
  • Le temps d’un livre
    Souvenez-vous en ! Fin des années 80. Grand discours de la Baule. L’amiral écouta religieusement, enleva costume militaire et costar cravate sera. Il se leva à la suite, reprit son pays. Grand discours également. Plus lo…
  • Paris fait les grands auteurs
    Auteur de trois ouvrages publiés aux éditions du Serpent à plumes, Jean-Luc Raharimanana est devenu  » la référence malgache  » – une fois passé le seuil de l’éditeur parisien.As-tu déjà proposé tes manuscrits à un éditeur…
  • African psycho
    Le monstre n’est plus le même dans les romans africains. Ce ne sont plus les dictateurs qui occupent ce rôle ambigu, suscitant attirance et répulsion, mais les enfants de la rue, enfants-victimes, enfants-rejetés et enfa…
  • Fenêtre sur l’Amérique – 4, par Alain Mabanckou
    L’Amérique noire était bien présente au nouveau Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora ! En cette fin du mois d’octobre 2003 s’est déroulé à N’Djamena le Nouveau Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diasp…
  • Deux librairies à Ann Arbor (Michigan, USA)
    Borders et Shamman Drum sont les principales librairies de la ville d’Ann Arbor. En pénétrant dans ces librairies, on est frappé par l’abondance des parutions. Et puis, il y a toutes ces publicités d’éditeurs, à l’instar…
  • Papa Wemba : de cette musique congolaise qui incite à l’immigration
    Depuis les Etats-Unis j’avais lu cette dépêche de l’AFP : Le juge des libertés et de la détention de Bobigny a décidé de placer en détention provisoire le chanteur d’origine congolaise Papa Wemba, soupçonné d’avoir orga…
  • Lettre ouverte à Marc Ravalomanana
    Le 20 juin 2002, dans le vif des opérations de pacification, l’écrivain Jean-Luc Raharimanana diffuse largement cette lettre ouverte par courrier électronique et en demande publication.Votre expression  » Le développement…
  • Guyane, Haïti, les autres Amériques…
    Damas est quelque part ici La Guyane, l’autre Amérique. Est-ce une coïncidence si je suis logé à côté de la rue Gontran Damas, l’un des pères fondateurs de la Négritude qu’on a trop souvent tendance à reléguer vers le…
  • Des dramaturges qui se pensent au monde
    Les nouvelles écritures théâtrales quittent le terrain miné de l’africanité pour une inscription plus large dans le monde. Ce nouveau positionnement où l’appartenance à l’humanité prend le dessus sur les fixations de l’i…
  • « Stop War »
    Avril 2003 : en pleine guerre contre l’Irak, le romancier et poète congolais Alain Mabanckou, qui enseigne les Littératures francophones à l’université de Michigan (États-Unis), inaugure une nouvelle chronique pour Afric…
  • entretien de Boniface Mongo-Mboussa avec Alain Mabanckou.
    Les petits-fils nègres de Vercingétorix, dernier roman d’Alain Mabanckou évoque, dans une langue lyrique un amour fort entre une femme du Nord et un homme du Sud dans un contexte de guerre civile déchirant un pays africa…
  • Les Petits-fils nègres de Vercingétorix
    Alain Mabanckou entre en littérature en 1993, avec le recueil de poèmes Au jour le jour. Suit deux ans plus tard un autre recueil qui confirme son talent poétique, L’Usure des lendemains, couronné par le prix Jean-Christ…
  • La beauté du Congo multiethnique
    Les petits-fils nègres de Vercingétorix, dernier roman d’Alain Mabanckou évoque, dans une langue lyrique un amour fort entre une femme du Nord et un homme du Sud dans un contexte de guerre civile déchirant un pays africa…
  • Place du 13 mai
    Antananarivo. Place du 13 mai. Encore et toujours. Une foule monstre…Paris. Tours. Boston ou Tremblay. Entendues lors des rencontres et dédicaces, lues dans des articles, répétées de lèvres en lèvres, ces phrases : « le p…
  • Editeurs d’Afrique(s) sur Seine : spéculations sans suite ?
    L’Afrique séduit : les éditeurs parisiens s’arrachent ses auteurs les plus prometteurs, malgré l’indifférence de la critique littéraire. Mais soutiennent-ils vraiment leurs auteurs ? Pour répondre, une revue de détails m…
  • Les revers de notre civilisation
    Dans votre dernier roman Nour 1947, vous alternez la narration avec les écrits des missionnaires. C’est le thème de la mémoire qui a imposé cette structure. Notre mémoire, à nous Malgaches, n’est pas linéaire. Certaine…
  • Pour une Afrique désirable
    Réfléchir le passé pour être acteur du futur : les deux écrivains présents à Kigali prolongent l’écho de la rencontre Rwanda 2000 par un constat actuel et sans complaisance de la situation de l’Afrique afin de dessiner d…
  • Poésie : chronique d’une mort annoncée ?
    La chanson est maintenant connue l’audience de la poésie s’est évaporée… C’est un constat établi presque dans un élan d’unanimisme apocalyptique. Il n’y aurait, semble-t-il, plus rien à faire, la machine infernale sui…
  • Alain Mabanckou ou l’errance légendaire
    Dans L’Usure des lendemains (éd. Nouvelles du Sud, 1995), Alain Mabanckou évoque l´une des fonctions premières de l´écriture, et en particulier de l´expérience poétique :  » Aller vers la source des choses,/ là où la mati…
  • Exil
    De quel bannissement s’agit-il ? Mais surtout, qui bannit ? Des pièges subtils s’alignent sous les pas de l’écrivain exilé : politique, idéologie, public, langue… Au fond, l’écrivain n’est-il pas exilé par nature… et…
  • Premiers romans
    Quand un poète et un scénariste se mettent au roman, on attend le résultat avec curiosité – et on est surpris : là où Kossi Efoui (le dramaturge) se lance dans une écriture plutôt difficile à aborder, Alain Mabanckou (le…
  • De l’esclavage
    Un livre oublié et le récit d’un vieil homme content la même histoire qu’illustrent les proverbes : la troublante généalogie de l’imposture.Traîner… – Vois-tu enfant me dit cet homme, tireur de pousse-pousse de son ét…
  • Limoges 1998 : une mangrove francophone enracinée en Limousin
    Installé depuis sa création, en 1984, dans le verdoyant bassin du Limousin, le Festival International des Francophonies est une vraie pépinière de talents. Monique Blin, la jardinière de cette serre francophone qui, au m…
  • Waberi et Raharimanana : nouvelles fictions
    Nouvelliste, romancier, poète, critique, Abdourhaman A. Waberi est né à Djibouti en 1965. Il réside depuis 1985 à Caen où il est professeur d’anglais. Deux recueils de nouvelles, Le pays sans ombre (Le Serpent à plumes, …
  • entretien de Boniface Mongo-Mboussa et Landry-Wilfrid Miampika avec Alain Mabanckou
    Alain Mabanckou (Congo, 1966) est auteur de plusieurs recueils de poèmes : Au jour le jour (Maison Rhodanienne de la poésie, 1993), L’Usure des lendemains (Nouvelles du sud, 1995), La légende de l’errance (L’Harmattan, 1…
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