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Tous les articles en lien avec Edito 61

  • Zaïre : le cycle du serpent
    Cela a commencé avec l’homme Lumumba, espoir de liberté, de démocratie et de bonheur. Mais l’indépendance a mal tourné et le lion Tschombé est venu réinstaurer la discipline. Puis vint le léopard Mobutu qui parle comme l…
  • Entre deux mondes. Des Africains à Paris
    Le Sud-africain Darryl Evans vit depuis 1984 à Paris où il avait obtenu l’asile politique. Photographe à l’agence Vu, il publie en 1994 Afrique du Sud, de l’apartheid à la citoyenneté (Syros). C’est à Paris qu’il a réell…
  • Editorial
    « Le processus mené par la Commission Vérité et Réconciliation a contribué à la réconciliation, à la guérison de notre nation. Elle a permis que la vérité des faits sois mise en lumière, sûre que l’ignorance et le mensong…
  • « Ce que filmer veut dire »
    Puisque nous parlons d’images, comment trouvez-vous celle que nous avons choisie pour la première couverture d’Africultures ? Les images comportent des évidences invisibles, des non-dit qu’il s’agit de pointer. Sur cett…
  • Images du Noir dans le cinéma américain blanc (1980-1995)
    Cela a commencé en 1915 par Naissance d’une nation de Griffith, film fondateur du cinéma américain, où le personnage de Buck est un nègre primitif et violent. Cela a continué en 1939 avec Autant en emporte le vent où la …
  • Persistance et évolution des représentations
    Quels sont les préjugés coloniaux les plus marquants aujourd’hui dans l’imaginaire occidental ? Il nous est difficile d’évoquer la notion « d’imaginaire occidental ». Selon Pierre Bourdieu « les sociétés modernes se sont …
  • Se libérer pour peindre
    Philosophe de formation et psychanalyste basé à Abidjan, Zirignon Grobli est un autodidacte en peinture. Sa démarche picturale très personnelle passe par la destruction de l’image de l’Autre avant réparation par le langa…
  • Sous les pieds des femmes
    Cela commence par des regards, des miroirs, des silences. On pense à Melville : la retenue des corps, le cadrage large sur des pièces presque vides, la pesanteur des mots pour aller à l’essentiel. Parce que ce film nous …
  • Editorial – revue Africultures 2
     » J’habite mon cri afin de le danser  » Fatha Berezak, Le Regard aquarel II. L’Harmattan 1988, p. 58.Loin de nous l’idée d’une idéalisation simpliste ou d’un hommage hypocrite. Consacrer ce dossier du deuxième numéro d’…
  • à propos de Mossane
    Longtemps considérée comme  » la  » femme du cinéma africain, la Sénégalaise Safi Faye s’explique sur son premier long métrage de fiction, Mossane, tourné en 1990, sélectionné au festival de Cannes par Un certain regard en…
  • « Quel est le regard d’une femme cinéaste ? »
    Entretien avec la Togolaise Anne-Laure Folly, réalisatrice de Femmes du Niger, de Femmes les yeux ouverts et de Les Oubliées – des documentaires prenant les femmes comme sujet.Attribues-tu une spécificité au regard des f…
  • Calixthe Beyala
    Calixthe Beyala n’est pas la première romancière africaine. Avant elle, deux de ses compatriotes, Marie-Claire Matip (Ngonda, 1958) et Thérèse Kuoh Moukoury (Rencontres essentielles, 1969), avaient déjà produit des  » aut…
  • Mossane
    Vu superficiellement, Mossane est une histoire de mariage forcé de plus. Vieux schéma ? Cinéma calebasse ? Plat réchauffé ? Certainement pas : ce film a la modernité de l’éternité. Non celle d’une Afrique prétendue immém…
  • Mémoires d’immigrés
    Le film Structuré en trois parties de 52 mn (les pères, les mères, les enfants), il est une pure merveille : enfin une parole d’immigrés sur les écrans de la télévision, enfin une parole sensible permettant de saisir au…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Yamina Benguigui
    Votre film tourne beaucoup autour de la question du regroupement familial. Quel en était en définitive le pourquoi ? Personne n’est clair sur ce sujet. A partir de mai 68, un mouvement est apparu pour défendre les droit…
  • Kini et Adams
    Kini et Adams sont deux paysans qui tentent de survivre et ne rêvent que d’un ailleurs : la ville. Ils investissent leur temps et leurs faibles moyens dans la réparation d’un vieux tacot qui pourra les emmener et leur pe…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
    Peux-tu dire aujourd’hui que l’Afrique australe est une alternative valable aux difficultés rencontrées en Afrique de l’Ouest ? Oui, dans la mesure où nos expériences peuvent se compléter : ils ont par exemple développé…
  • 100 % Arabica
    Mahmoud Zemmouri aime se moquer pour interroger l’actualité. Dès sa première fiction, Prends dix mille balles et tire-toi (1981), il adoptait le comique pour dénoncer les conséquences de la politique du gouvernement fran…
  • Imuhar, une légende
    Une légende ? Quelle légende ? Son père touareg fait découvrir à Khénan, son fils de 11 ans qui a toujours vécu à Paris, sa famille d’origine, dans les sables du Niger. Khénan est déboussolé par la perte récente de sa mè…
  • Keïta, l’héritage du griot
    Dani Kouyaté ne manque pas d’air : pour son premier long métrage, il adapte la légende mandingue la plus célèbre d’Afrique francophone, celle que bien des cinéastes rêvent de faire le jour où ils en auront les moyens : S…
  • Le regard occidental sur les images d’Afrique
     » On arrondit la bouche avant de siffler  » proverbe congolaisAu dernier festival de Cannes, un film de trois minutes, expression du mouvement des sans-papiers, était souvent projeté en début de séance à la Quinzaine des…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Jean-Servais Bakyono
    Quels sont tes critères d’analyse en tant que critique africain ? Je ne fais pas la différence entre film africain ou non : je ne vois qu’une œuvre. Pour lire le film, je n’ai pas de critère pré-défini. Je me laisse gui…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Baba Diop
    Quel état des lieux ferais-tu de la critique africaine aujourd’hui ? Trois types de critiques se côtoient : la critique quotidienne, les universitaires et les journaux spécialisés. La critique quotidienne est prise en c…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Clément Tapsoba
    Comment te situes-tu dans la critique africaine ? Les premières réflexions sur le cinéma africain sont venues de critiques occidentaux. Le manque de formation et le peu d’occasions de voir des films ont fait que les cin…
  • Essaïda
     » Regarde nous tels que nous sommes pour être mieux que ce que nous sommes « . Essaïda s’ouvre sur cet encart : tout un programme. Avec autant de force que de subtilité, il le remplit bien. Cela commence sur la crise d’Am…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Mohamed Zran
    A quoi attribues-tu le succès de ton film en Tunisie ? Je crois qu’il est sincère et qu’il est proche de la jeunesse et des gens, qu’il les respecte et reflète leur environnement. Je cherche à ne pas faire un cinéma déc…
  • Fools
    Cela commence par un panoramique magnifique sur les toits de Charterston (ghetto noir de Nigel) noyés dans le petit matin et dont les fumées des cheminées suivent la même oblique. Cette impression ne nous quittera pas. C…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Ramadan Suleman
    Je suis frappé à quel point votre film représente un travail de deuil sur l’intégration de la violence dans une société de violence… J’habite en France depuis dix ans, mais pour m’intéresser à son histoire, je ne disp…
  • Clando
    Clando : clandestin. Anatole l’est comme chauffeur de taxi à Yaoundé pour survivre, mais ce n’est qu’une métaphore : il l’est comme être conscient dans cette société d’injustice. Plus rien ne colle, ni sa vie sociale ni …
  • Buud Yam
    En mooré, buud signifie les ancêtres aussi bien que la descendance et yam l’esprit, l’intelligence. Buud yam est ainsi avant tout un désir : celui d’une appartenance, d’une identité, de comprendre qui on est.  » Qui et qu…
  • Entretien d’Olivier Barlet avec Gaston Kaboré
    Dans Buud Yam, quel lien fais-tu entre le sacrifice de la mère puis de son fils et le destin ? C’est à travers sa mère que Wend Kuuni perçoit la vie puisqu’il n’a qu’une moitié de filiation : il n’a pas connu son père e…
  • Le Destin
     » Ils  » ont interdit L’Emigré. Sous prétexte qu’il représentait un prophète. Et Chahine de leur répondre d’un grand coup d’irrévérence, par un film magistral contre l’intégrisme et l’intolérance. Le Destin, situé au 12° …
  • [20 ANS AFRICULTURES] Editorial – revue Africultures 1
    1997 – 2017 : Africultures a 20 ans. Et pour l’occasion nous remettons en avant, pour vous, lecteurs-trices, des articles phares de ces 20 dernières années. Ici, le tout premier éditorial accompagnant la première parutio…