Tous les articles en lien avec Humus, de Fabienne Kanor
-
De Vénus à Miriam, au pas de mon chant : Entretien avec Chantal Loïal et Marie-Claude BottiusChorégraphe et danseuse, fondatrice de la compagnie Difé Kako, Chantal Loïal crée On t’appelle Vénus en 2011. Elle y danse en solo le destin tragique de Sarah Baartman, la tristement célèbre « Vénus Hottentote », exhibée…
-
Je ne suis pas un homme qui pleureFabienne Kanor écrit depuis 2004 au rythme d’un roman tous les deux ans. Voici le septième… et le premier que je découvre. Bien qu’ayant récolté plusieurs prix (Caraïbe, Carbet, Tout Monde), cet écrivaine est restée pe…
-
La Traversée aux disparus – Compagnie La part du pauvreDu 5 au 7 mai la metteuse en scène Eva Doumbia (Cie La Part du Pauvre) présentait son dernier travail au Théâtre National de La Criée de Marseille : La Traversée aux disparus. D’après des textes romanesques de Maryse Co…
-
« J’ai le devoir de raconter des deux côtés ce qui se passe »Féministe et afropéenne assumée, la metteuse en scène Eva Doumbia parle de son projet théâtral et littéraire La Traversée aux disparus. Un volet de ce travail, la pièce Femmes de Ségou, a été présenté en février à Yaound…
-
« J’ai éprouvé l’urgence à dire »Comment est né le projet d’écriture d’humus ? Il est des livres qui démarrent comme des films. Sénégal. Gorée. 2004. Pour la énième fois, je visite la Maison des esclaves. Comme d’habitude, écoute d’une oreille distrait…
-
Humus, de Fabienne KanorLe nouveau roman de Fabienne Kanor, à paraître au mois de septembre dans la collection « Continents noirs » des éditions Gallimard, est né d’une anecdote historique : en 1774, quatorze femmes parquées dans les cales d’un n…
-
De la schizophrénie antillaiseAuteur de D’eaux douces (Gallimard, 2004) et avec sa sur Véronique Kanor du film La Noiraude, Fabienne Kanor parle ici du malaise antillais et de la nécessité de l’écriture et du cinéma.Vous êtes quelqu’un qui écrit ava…
-
La NoiraudeMarlène voudrait que tous les Noirs ressemblent à Denzel Washington. Didier ne danse pas comme elle le voudrait : elle l’engueule, il se casse. Voilà Marlène seule, à se demander s’il faut le revoir, comment le récupérer…
-
Une Cubaine à ParisParole de femme d’une écrivaine indésirable à Cuba depuis 1995 et qui sait, en littérature comme dans la vie, ne pas mâcher ses mots.Livrée à vous-même très jeune (vous aviez 10 ans lorsque votre grand-mère qui vous élev…