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Tous les articles en lien avec Mes hommes à moi

  • Présence Africaine fait son université
    Les 21 et 22 octobre derniers La Colonie, en collaboration avec la revue Afrikadaa et l’African Art Book Fair, a été le théâtre d’un événement signé Présence Africaine : Les universités de la Rentrée. Cette carte blanche…
  • « Il n’y a pas de problèmes en Afrique il n’y a que des recherches de solutions. »
    Cacophonie est le dernier roman de Ken Bugul, paru en 2014. Ce roman d’une femme qui s’emmure peu à peu physiquement, puis psychologiquement, dans une « maison jaune » dans une « ville ocre » sur le « continent clair-obsur », …
  • Nio Far questionne l’histoire coloniale
    Réunir artistes, historiens et citoyens autour de l’histoire coloniale, c’est tout le pari du festival Nio Far. Itinérant, ce temps fort qui se déroule du 22 au 29 novembre à Paris se prolongera en avril au Sénégal. Renc…
  • Johnny chien méchant d’Emmanuel Dongala par Éloïse Brézault
    Publiée par l’ACEL (Association pour une Collection d’Études Littéraires), la collection Le cippe a pour but de favoriser l’accès aux littératures francophones et compte à ce jour plus d’une dizaine de titres.C’est à Élo…
  • Afrique. Paroles d’écrivains
    Il n’est pas toujours évident de faire parler les écrivains, notamment lorsque ceux-ci sont parfois enfermés dans des carcans d’appartenances géographiques qui tendent à faire passer au second plan leur travail littérair…
  • L’écrivain africain aujourd’hui 
    En vérité la question de l’identité nationale n’est pas si hors de propos qu’il y paraisse. Elle est même au centre de la problématique des écrivains africains d’aujourd’hui. Cela fait quelques années déjà que l’on se p…
  • L’autre moitié du Soleil
    Tout commence dans les années 1960, juste après l’indépendance du Nigeria : le Biafra est encore une province au sud-est du pays où habite majoritairement une population ibo plus instruite et fortement christianisée alor…
  • Mes hommes à moi
    En lisant le dernier roman de Ken Bugul, on ne peut s’empêcher de se remémorer, telle une complainte parfois nostalgique, parfois révoltée et qui revient de loin en loin dans le parcours de l’écrivaine, les paroles de la…
  • Salogi’s
    Avec Salogi’s, le Mauricien Barlen Pyamootoo entreprend un très bel hommage, plein de pudeur et de retenue, à sa mère disparue subitement « le 26 mars 2006, écrasée par un autobus » (7). En lisant ce récit témoignage hanté…
  • Bêtes sans patrie
    « Ça a débuté comme ça. Je sens que ça me gratte on dirait c’est les insectes qui rampent sur ma peau, puis ma tête aussi qui commencent à chatouiller, entre les yeux, j’ai donc envie d’exténuer à cause que mon nez aussi …
  • La Nouvelle Chose française
    Nimrod nous propose ici une réflexion sur le statut de l’écrivain francophone, terme qu’il abhorre parce qu’il est plus affaire de politique et d’hégémonie culturelle que de poétique et d’écriture : « Il faut dire que la …
  • Une journée haïtienne
    Thomas C. Spear, grand spécialiste de la littérature caribéenne (il est professeur à l’université de Cuny à New York) et créateur du site « Ile en Ile » (1) nous offre une déclaration d’amour à la littérature haïtienne dan…
  • Tels des astres éteints
    Dans ce 3e opus, Tels des astres éteints, Léonora Miano continue d’explorer ce lien profond qui la rattache à l’Afrique en déplaçant cette fois-ci la réflexion de la quête identitaire sur le sol français : elle s’inscrit…
  • Filles de Mexico
    En ouvrant Filles de Mexico, on ne peut s’empêcher de songer aux très célèbres paroles de Luis Mariano que l’auteur rappelle avec un malin plaisir au détour d’un chapitre, comme un clin d’œil suranné à l’identité cette v…
  • Les écrivains et la colonie : les mensonges de l’Histoire
     » La France est secouée ces derniers temps par des débats, des déclarations, des lois qui, loin de la grandir, nous montrent finalement le visage d’un pays adepte de la langue de bois lorsqu’il s’agit d’affronter sa part…
  • N’körö
    Le deuxième roman du Guinéen Libar M. Fofana mêle réalisme et fantastique, revisitant au passage les mythes de Caïn et Abel et celui de Faust.Une femme stérile voit son mari prendre une deuxième épouse pour perpétuer le …
  • du Climat de peur de Wole Soyinka à Rue Félix-Faure de Ken Bugul
    Presque uniformément la peur sortait d’une chaîne de fabrication d’État… Wole Soyinka Cette énergie, c’était ce qu’il fallait pour que l’être humain survive à la vie. Ken BugulLes écrivains sont des météorologues. D’a…
  • Le Fils de l’arbre, de Libar A. Fofana
    Bakari retourne en Guinée après 40 ans d’absence : à 17 ans à peine, il fuit les anciens de son village qui l’avaient marié de force à une jeune fille-mère, Bintou, et part pour Marseille, après avoir traversé son pays à…
  • Paroles engagées, Paroles engageantes
    Ecrire aujourd’hui est-ce différent d’écrire hier ou d’écrire demain ? Ecrire aujourd’hui est-ce plus une passion, une nécessité ou un devoir ? Et pour qui écrire ? Et quoi écrire ? Et pourquoi écrire ? Et comment…
  • Ecrivains-voyageurs, écrivains engagés
    Après le projet  » Ecrire par devoir de mémoire  » de Fest’Africa et le nouveau Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora de N’Djamena, le thème de l’engagement, indissociable de l’histoire de la littérature africa…
  • entretien d’Eloise Brezault avec Véronique Tadjo
    Dans votre dernier livre, vous dépeignez la relation amoureuse au sein d’un couple qui a perdu, en quelque sorte, ses points de repère. Les personnages sont réduit à leur minimum : un nom, une vague description physique….
  • entretien d’Eloise Brezault avec Tierno Monénembo
    Vos œuvres sont traversées par le thème de l’exil (vous peignez des personnages qui vivent en exil à Lyon ou à Abidjan, vous parlez de la fuite dans Les crapauds-brousse ou dans Un rêve utile). L’exil va même jusqu’à tra…
  • A l’occasion de la sortie du dernier livre de B. B. Diop : Murambi, le livre des ossements.
    Vous étiez combien d’auteurs africains à partir là-bas ? On était une dizaine. Il y avait Véronique Tadjo (Côte d’Ivoire), Waberi (Djibouti), Tierno Monénembo (Guinée), Koulsy Lamko (Tchad), Monique Ilboudo (Burkina Fas…
  • Nocky Djedanoum, Jean-Marie Vianney Rurangwa et Monique Ilboudo ont participé à « Rwanda : écrire par devoir de mémoire »
    Les éditions Le Figuier ont publié, en co-édition avec le Fest’Africa de Lille, trois livres sur le génocide rwandais de 1994 : Nyamirambo, un recueil de poèmes écrit par l’écrivain tchadien Nocky Djedanoum ; Le génocide…
  • La Phalène des collines
    Dans son dernier roman, La phalène des collines, Koulsy Lamko évoque le génocide du Rwanda sous la forme d’un conte allégorique : l’histoire est racontée par l’esprit d’une Reine qui revient hanter le monde des vivants s…
  • Cheval-roi
    L’enfant montra sa face dans la béance et Madeleine fut horrifiée de ne pas le reconnaître tant il était hideux et couvert de merde. La sage-femme le déposa sur son ventre : « Voilà votre petit merdeux ! » (1) C’est ainsi…
  • Etonnants Voyageurs, nouveau rendez-vous littéraire de Bamako
    Avec le salon Etonnants Voyageurs, une tradition littéraire est en train de s’établir à Bamako. Après une première édition en février 2001, une centaine d’écrivains se sont retrouvés du 21 au 25 février 2002 pour ce fest…
  • Nouveautés du livre
    Temps de chien, de Patrice Nganang, Le Serpent à plumes, 2001, 300 p., 105 FF. Tout comme La Promesse des fleurs, le deuxième roman de Patrice Nganang fait la part belle au langage de la rue. Le narrateur Mboudjak, tant…
  • Vingt ans après Mariama Bâ, nouvelles écritures au féminin
    Spécificité de l’écriture féminine ? Face à la modernité, la distinction masculin/féminin s’estompe pour une vision moins réductrice tentant d’articuler l’appartenance et l’universel.2001, vingt ans que Mariama Bâ s’en e…
  • Calixthe Beyala et Ken Bugul : regards de femmes sur l’Afrique contemporaine
    Les écrivaines africaines n’en rajoutent pas : leurs personnages sont moins exemplaires que ceux de leurs homologues masculins. Mais, comme le montre l’écrivaine Nathalie Etoké à l’exemple de Calixthe Beyala et Ken Bugul…
  • à propos de Moissons de crânes, Textes pour les Rwanda
    Tu reviens de Djibouti. Djibouti, qui, dans Balbala, est « le véritable héros de ce récit » (p.70). Les 4 voix du roman ont en commun de parler de cette ville, de son histoire présente et passée, de sa vie actuelle. Est-ce…
  • Briser le tabou qui interdit de parler du corps
    Avec la parution, en 1983, de son premier récit autobiographique, Le Baobab fou, Ken Bugul fait d’emblée scandale en Afrique. Déchirée entre la culture de ses parents et son expérience de l’Occident, elle compte parmi le…
  • De la Porte du Sans Retour à la Porte du Non Retour.
    La nécessité de dire et célébrer la traite pour réécrire l’Histoire des Noirs, une nouvelle histoire, marronnage du troisième millénaire pour se libérer de l’esclavage moderne.Parler encore de la traite négrière et du ma…