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Tous les articles en lien avec Noir de boue et d’obus

  • DO-KRE-I-S, sur les traces d’espaces de rencontres créoles alternatifs
    Du 9 octobre au 28 novembre 2021 se tient la 5e édition du Mois Kreyol, festival des langues et des cultures créoles à Paris, en Île-de-France, à Strasbourg, Mulhouse et pour la première fois à Nantes et Bordeaux. Ave…
  • De Vénus à Miriam, au pas de mon chant : Entretien avec Chantal Loïal et Marie-Claude Bottius
    Chorégraphe et danseuse, fondatrice de la compagnie Difé Kako, Chantal Loïal crée On t’appelle Vénus en 2011. Elle y danse en solo le destin tragique de Sarah Baartman, la tristement célèbre « Vénus Hottentote », exhibée…
  • Le personnage a-t-il une peau ?
    Pour justifier de ne pas distribuer tel ou tel acteur non-blancs dans les personnages principaux du répertoire, les metteurs en scène se réfugient derrière un curieux principe de vraisemblance. Ils prétendent redouter à …
  • Pleins feux sur la création théâtrale contemporaine guadeloupéenne
    La programmation du festival d’Avignon 2014 a fait la part belle au théâtre guadeloupéen. Lors de l’Université d’été des Théâtres d’Outre-Mer en Avignon, les 20 et 22 juillet dernier, intitulée  » Poétiques de marronnage …
  • Noir de boue et d’obus
    Danser l’horreur des tranchées pour questionner notre humanité. Voici un pari audacieux, relevé avec brio par la chorégraphe Chantal Loïal, dans sa nouvelle création Noir de boue et d’obus, soutenue par la Mission du Cen…
  • Reconstruire le corps de Saartjie Baartman
    Celle qui a laissé une trace dans l’histoire sous le nom de « la Vénus hottentote », une attraction de foire rencontrant au début du XIXe siècle la curiosité éblouie des scientifiques et des anthropologues, est devenue auj…
  • On t’appelle Vénus
    À Confluences, la Guadeloupéenne Chantal Loïal danse à la mémoire de la Vénus hottentote, à travers une célébration de son propre corps et des corps des Noir.e.s. Une réflexion sur l’exotisme et l’exhibition menée en com…
  • « Mon père, cet étranger au monde »
    Paris, un soir d’hiver. L’air est glacial, mais cela n’empêche pas Jean-Pierre Baro d’afficher un sourire contagieux. Pourtant, ce sont les larmes qui obsèdent ce metteur en scène, fondateur de la compagnie Extime. Celle…
  • Woyzeck (Je n’arrive pas à pleurer) :
    Dans son nouveau spectacle, Jean-Pierre Baro rend la parole à ceux qui souffrent en silence pour dénoncer le poids du racisme social. Le metteur en scène raconte l’histoire de son père, immigré sénégalais, à travers la t…