Tous les articles en lien avec Le complexe de Machin la Hernie
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Ce soir vous lirez Quignard ou RaharimananaDès lors qu’une oeuvre est réputée difficile d’accès, on a vite fait de parler de la vie de l’auteur, de ce qu’il aime, de ce qu’il déteste, de ses coups de gueule, de ses coups de cur, de ses combats etc. On lui accord…
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La quête d’un féminisme réaliste chez Zola et Sony Labou TansiS’il existe des catégories humaines à l’égard desquelles l’imaginaire est très souvent resté peu créatif, ce sont bien celles des femmes et des enfants. Ce manque de créativité s’illustre par la prééminence » géronto-pha…
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L’inutile utilité de la littératureLa question de l’engagement hante la littérature africaine depuis la négritude. Aperçu historique des débats qui ont secoué la scène littéraire africaine francophone. (1) » Chez (les écrivains de la négritude), le rêve es…
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L’étonnante résistance de la littérature africaineL’engagement des écrivains africains contre la barbarie peut conduire jusqu’à la mort quand ce n’est pas l’exil forcé. Dans leur écrasante majorité, ils ont trempé et continuent de tremper leur plume dans l’encre de la r…
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Sortir des boisRaharimanana réagit à la « Correspondance » d’Alain Mabanckou, « L’Amérique noire à N’Djaména », parue dans le n°57 d’Africultures.Bien cher Alain, Je n’irai pas par quatre chemins on se connaît trop pour prendre des déto…
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« Faire le choix de l’inconscience »» L’engagement doit faire en sorte que l’écriture reprenne sa place capitale, sa place centrale : le plaisir des mots, des idées, de la langue « , affirme Jean-Luc Raharimanana. Pour cet auteur malgache, l’engagement s’es…
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Paroles engagées, Paroles engageantesEcrire aujourd’hui est-ce différent d’écrire hier ou d’écrire demain ? Ecrire aujourd’hui est-ce plus une passion, une nécessité ou un devoir ? Et pour qui écrire ? Et quoi écrire ? Et pourquoi écrire ? Et comment…
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Ecrivains-voyageurs, écrivains engagésAprès le projet » Ecrire par devoir de mémoire » de Fest’Africa et le nouveau Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora de N’Djamena, le thème de l’engagement, indissociable de l’histoire de la littérature africa…
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Réponse d’Alain Mabanckou à Jean-Luc RaharimananaCher Jean-Luc, C’est avec un grand intérêt que je prends connaissance de ta réaction quant à la chronique que j’ai publiée récemment dans Africultures concernant le Congrès des écrivains d’Afrique et de sa diaspora, con…
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Jean-Luc RaharimananaBien cher Alain, Je n’irai pas par quatre chemins on se connaît trop pour prendre des détours , pour te dire que j’ai été très surpris par ta dernière chronique à Africultures. Je n’ai pas l’intention de contester ta…
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Le temps d’un livreSouvenez-vous en ! Fin des années 80. Grand discours de la Baule. L’amiral écouta religieusement, enleva costume militaire et costar cravate sera. Il se leva à la suite, reprit son pays. Grand discours également. Plus lo…
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Paris fait les grands auteursAuteur de trois ouvrages publiés aux éditions du Serpent à plumes, Jean-Luc Raharimanana est devenu » la référence malgache » – une fois passé le seuil de l’éditeur parisien.As-tu déjà proposé tes manuscrits à un éditeur…
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Lettre ouverte à Marc RavalomananaLe 20 juin 2002, dans le vif des opérations de pacification, l’écrivain Jean-Luc Raharimanana diffuse largement cette lettre ouverte par courrier électronique et en demande publication.Votre expression » Le développement…
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Des dramaturges qui se pensent au mondeLes nouvelles écritures théâtrales quittent le terrain miné de l’africanité pour une inscription plus large dans le monde. Ce nouveau positionnement où l’appartenance à l’humanité prend le dessus sur les fixations de l’i…
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Le théâtre au Congo pendant les guerres et après« Le théâtre reste le moyen le plus rapide de parler aux hommes. » Cette phrase du romancier et dramaturge congolais Sony Labou Tansi confirme bien le dynamisme du théâtre en général et du théâtre congolais en particulier….
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Place du 13 maiAntananarivo. Place du 13 mai. Encore et toujours. Une foule monstre Paris. Tours. Boston ou Tremblay. Entendues lors des rencontres et dédicaces, lues dans des articles, répétées de lèvres en lèvres, ces phrases : « le p…
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Editeurs d’Afrique(s) sur Seine : spéculations sans suite ?L’Afrique séduit : les éditeurs parisiens s’arrachent ses auteurs les plus prometteurs, malgré l’indifférence de la critique littéraire. Mais soutiennent-ils vraiment leurs auteurs ? Pour répondre, une revue de détails m…
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Les revers de notre civilisationDans votre dernier roman Nour 1947, vous alternez la narration avec les écrits des missionnaires. C’est le thème de la mémoire qui a imposé cette structure. Notre mémoire, à nous Malgaches, n’est pas linéaire. Certaine…
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Pour une Afrique désirableRéfléchir le passé pour être acteur du futur : les deux écrivains présents à Kigali prolongent l’écho de la rencontre Rwanda 2000 par un constat actuel et sans complaisance de la situation de l’Afrique afin de dessiner d…
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entretien de Boniface Mongo-Mboussa avec Maïmouna Coulibaly, secrétaire générale de Fest’AfricaComment est né Fest’Africa ? Fest’Africa est né d’une frustration. Nocky Djedanoum et moi, nous nous sommes rencontrés à l’Ecole du journalisme. Il était en 2e année, j’étais en 1ère. Notre frustration était toute simpl…
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Sony Labou Tansi et l’écriture du corps : la subversion par le basL’éloge carnavalesque du corps que fait le grand écrivain congolais n’est en rien futile mais profondément subversive, et ramène finalement chacun à son humanité. Dans son livre consacré à la philosophie négro-africain…
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ExilDe quel bannissement s’agit-il ? Mais surtout, qui bannit ? Des pièges subtils s’alignent sous les pas de l’écrivain exilé : politique, idéologie, public, langue… Au fond, l’écrivain n’est-il pas exilé par nature… et…
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Le Pleurer-Rire* des écrivains africainsLe rire africain n’est pas forcément de l’humour. Et ne peut être analysé hors de son contexte : réponse à une domination d’abord puis distanciation face aux cataclysmes du continent.Qu’est ce que l’humour ? Epineuse q…
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De l’esclavageUn livre oublié et le récit d’un vieil homme content la même histoire qu’illustrent les proverbes : la troublante généalogie de l’imposture.Traîner… – Vois-tu enfant me dit cet homme, tireur de pousse-pousse de son ét…
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Limoges 1998 : une mangrove francophone enracinée en LimousinInstallé depuis sa création, en 1984, dans le verdoyant bassin du Limousin, le Festival International des Francophonies est une vraie pépinière de talents. Monique Blin, la jardinière de cette serre francophone qui, au m…
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Limoges 1989 : à propos de Sony Labou TansyIl y en a qui disent c’est un habitué, il y en a qui disent c’est un fidèle. Moi je dis plutôt que je suis un croyant du Festival, simplement parce je suis allé à plusieurs rencontres culturelles ; et le défaut de ces re…
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1998 : Mémoire sur scèneIl fut une époque où la maison des auteurs était cachée au fond d’une rue perdue loin des effluves du Festival. J’y suis allé voir Sylvain Bemba. Déjà de santé très fragile, ne supportant pas le froid d’un hiver qui n’en…
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Waberi et Raharimanana : nouvelles fictionsNouvelliste, romancier, poète, critique, Abdourhaman A. Waberi est né à Djibouti en 1965. Il réside depuis 1985 à Caen où il est professeur d’anglais. Deux recueils de nouvelles, Le pays sans ombre (Le Serpent à plumes, …
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