Tous les articles

Tous les articles en lien avec Il faut une nouvelle génération

  • Sembène Ousmane, réinventer le futur ?
    « Cʼest à nous de créer nos valeurs, de les reconnaître, de les transporter à travers le monde, mais nous sommes notre propre soleil », disait Sembène Ousmane. Le 21 mai 2023 au Pavillon des Cinémas du monde de l’Institu…
  • Fespaco 2013 : le renouveau ou la mort
    > »Sauvé par le gong ! » Le palmarès est venu in-extremis sauver cette édition aseptisée que fut ce Fespaco 2013 : un vrai palmarès de cinéma venant compenser la faiblesse globale de la sélection, la réduction de 15 à 7 du…
  • Po di Sangui
    Dans ce village de Guinée-Bissau, on plante un arbre à chaque naissance. L’arbre grandit avec l’enfant, lui survit et devient son âme. Il symbolise ainsi, comme un peu partout à travers le monde, la croissance de l’être …
  • Hergla 2008 : l’écriture de liberté de Djibril Diop Mambety
    Les 4èmes Rencontres de Hergla, organisées du 18 au 23 juillet 2008 par le cinéaste Mohamed Challouf et le critique Hassouna Mansouri dans un merveilleux petit village tunisien de bord de mer accueillaient cette année un…
  • Les médias face au génocide rwandais
    Animé par Catherine Ruelle (RFI), la Semaine de la Critique a proposé un débat faisant suite à la projection du film de Jean-Christophe Klotz, « Kigali, des images contre un massacre », sur la question du rôle des médias f…
  • The Brown University Africana Film Festival 2005 : questions d’identité
    Le festival de Providence (USA) confirme son rôle de réflexion universitaire et critique comme accompagnement d’une programmation exigeante et variée.La nouveauté de cette seconde édition du Brown University Africana Fil…
  • Nouveaux films
    Dans chaque numéro d’Africultures, le guide succinct des films sortis en France. On trouvera sur africultures.com les critiques complètes des films ainsi que les interviews avec les réalisateurs et acteurs, à consulter d…
  • Carthage 2002 : le cinéma tunisien entre art et politique
    Les Journées cinématographiques de Carthage ont été marquées par de vifs débats sur la critique et la réception des films tunisiens. Lire les synopsis et critiques des films vus à Carthage dans les liens.Les JCC sont en …
  • Nha fala (Ma voix)
    On voit « Nah falla » avec le même bonheur qu’une comédie musicale de Jacques Demy : les chants orchestrés par Manu Dibango sont pleins de vie, les danses donnent envie de se dandiner sur son fauteuil, les couleurs sont vi…
  • Cannes 2002 au jour le jour
    Jeudi 16 et vendredi 17 mai Aller au cinéma dans ce festival est comme entrer en religion : on laisse le soleil et le bleu de la mer pour écouter dans des salles obscures le visage tourmenté du monde et l’interrogation …
  • entretien d’Olivier Barlet avec Flora Gomes et Serge Zeitoun
    Flora Gomes (réalisateur de Po di Sangui qui avait été en compétition officielle à Cannes) espérait terminer son film Nah Fala pour Cannes, mais ce ne fut pas possible. Nous l’avons rencontré en compagnie de son producte…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Flora Gomes (Guinée Bissau)
    Un regard moderne Po di Sangui, mon dernier film, est un regard sur ma société de Guinée Bissau et sur l’Afrique mais c’est aussi un regard extérieur. On parle beaucoup d’environnement mais nous n’avons pas la même sens…
  • Un lien intime
    Chaque année, l’Association Racines présente une autre image de l’Afrique. En 2002, « l’Afrique et ses religions, regards de cinéastes » est une programmation itinérante, présentée à Paris et en Ile de France, mais aussi d…
  • Contre l’Islam dogmatique
    Dans son long métrage documentaire « Mille et une voix soufies », le réalisateur tunisien Mahmoud Ben Mahmoud, auteur de « Siestes grenadine », plaide pour un Islam libéral et intérieur.Pourquoi ce film ? A l’origine, c’éta…
  • Victime de l’école coranique
    Dans « Cinq jours d’une vie », le réalisateur malien Souleymane Cissé critique l’école coranique quand elle dévie vers la mise en esclavage des enfants. »Cinq jours d une vie » a été votre premier film ? Oui, il représente …
  • « Nous sommes avant tout des animistes », dit le documentariste sénégalais, mais il décèle dans le Mouridisme un fond culturel africain.
    La Confrérie des Mourides est un de tes premiers films. Qu’est-ce qui t’a poussé à t’interroger sur cette confrérie mouride ? Moi je m’intéresse au documentaire. J’avais été impressionné par « Le grand Magal » de Blaise S…
  • Karmen censuré
    Comme Africultures l’a déjà rapporté (n°41) par une correspondance de Dakar, le film Karmen du Sénégalais Jo Gaye Ramaka a été interdit à l’arme blanche, par l’intervention musclée dans la salle de cinéma de Mourides out…
  • Le « souffle des ancêtres » est une morale de vie
    Dans « Le Prix du pardon », le réalisateur sénégalais développe une esthétique abstraite pour ouvrir la compréhension du lien avec les ancêtres.Pourquoi avoir adapté le livre « Le prix du pardon » ? J’ai choisi ce livre de …
  • Il faut une nouvelle génération
    Sélectionné en compétition officielle au festival de Cannes en 1996, Po di Sangui est un regard essentiel sur le devenir écologique et spirituel de notre planète.Pourquoi ce film ? Po Di Sangui parle du rapport entre l’…
  • Quelle chemise prendre ?
    Mortu Nega était un hommage à la lutte pour la dignité des combattants de l’indépendance. Les Yeux bleus de Yonta était un regard sur une communauté urbaine. Dans Po di Sangui, j’ai voulu rechercher mes origines. La trad…
  • Flora Gomes
    « Chaque fois qu’un Africain arrive à faire un film, c’est une victoire ; car il n’est pas évident de mettre en place un film. Chaque metteur en scène est un solitaire qui fait le tour du monde pour trouver de quoi faire …
  • Po di Sangui
    Dans le village d’Amanda Lundju, une tradition veut qu’à chaque naissance, on y plante un arbre Ces arbres grandissent avec l’enfant, le dépassent, lui survivent et deviennent l’âme des villageois. Quand Dou le nomade, q…
  • Une synthèse intérieure
    Dans des courts métrages comme « Ainsi soit-il » ou dans les longs métrages comme « Nitt… Ndoxx ! Les faiseurs de pluie », vous avez exploré la spiritualité sénégalaise. Oui, c’est vrai que c’est quelque chose qui vient de …
  • Siméon, contre la division
    L’oralité du conte, la gestuelle des corps, la danse et la musique : il y a tout dans Siméon.Comment est venu Siméon ? C’était juste après un film politique puisque parlant de l’apartheid, un film commandé par les studi…
  • Jit : la musique est tonique !
    Jit, tourné en 1990, fit un tabac en alignant de petites scènes musicales mettant en scène un héros essayant de trouver la dot de sa promise. Le Zimbabwe y apparaît en couleurs vives enjolivant le réel jusqu’à le magnifi…
  • Cinémas lusophones : le gâchis et l’espoir
    L’histoire des cinémas lusophones ressemble à un énorme gâchis. Le Portugal salazariste s’est accroché à ses colonies qui n’ont pu se libérer qu’après la révolution des œillets en 1974. Le cinéma, qui s’était fait outil …
  • « Nous coupons une partie de nous-mêmes pour la vendre »
    Auteur de Mortu nega (ceux dont la mort n’a pas voulu, 1988)- devenu un des grands classiques des cinémas d’Afrique – et de Les Yeux bleus de Yonta (1992), Flora Gomes était en sélection officielle à Cannes en 1996 avec …
  • « Il faut garder espoir »
    Flora Gomes, où en êtes-vous depuis la guerre civile ? Je continue ! Je prépare un tournage. Bien sûr, avec la guerre civile de 1998 qui a duré presqu’un an, tout était bloqué ; on vient de faire des élections… on repre…
  • Racines noires 98, rencontre des cinémas du monde noir
    Nous quittons pour quelque numéros notre démarche transversale en centrant notre dossier sur une discipline artistique. Il s’agit d’honorer par un travail de recherche les partenariats développés avec les festivals qui n…
  • à propos du Gone du Chaâba
    Retour sur le Gone du Chaâba, livre d’Azouz Begag et film de Philippe Ruggia (critique dans notre précédent numéro) : comment un cinéaste s’approprie un écrit pour le conformer à ce qu’il désire communiquer.Pourquoi adap…