Choucha, une insondable indifférence

© © Sophie Bachelier.com
Cycle de cinéma
Le 18 Mai 2016
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique, Cinéma/TV, Interculturel/Migrations
Cinéma La Clef – 34 rue Daubenton, 75005 Paris – France
20 heures
6 € 50
Français
"Choucha, une insondable indifférence", primé au festival Vues d'Afrique à Montréal en avril 2016. Ciné-concert en présence des réalisateurs Sophie Bachelier et Djibril Diallo.
Moriba Koïta au N'Goni et Yakouba (rencontré au camp de Choucha) au chant, en première partie.
Synopsis :
Un camp au sud de la Tunisie, Choucha. Le désert.
Le 30 juin 2013, le camp ferme : l’eau, l’électricité sont coupées. Les ONG se retirent, plus de soins. Pourtant 700 rescapés du conflit libyen, réfugiés sans pays d’accueil et déboutés de leur demande d’asile survivent dans ce lieu fantomatique depuis deux ans et demi. Refusant l’intégration locale suite à l’attaque du
camp par un village voisin, leurs papiers ayant expirés, les familles sont prises au piège d’une situation kafkaïenne. Survivre au milieu du désert ou tenter l’improbable aventure maritime pour Lampédusa via la Libye ?
Leurs témoignages nous interrogent sur les stratégies mises en place pour aider et sécuriser les victimes des conflits actuels. Comment ce système, censé protéger, finit-il par exclure les plus vulnérables ?
Moriba Koïta au N'Goni et Yakouba (rencontré au camp de Choucha) au chant, en première partie.
Synopsis :
Un camp au sud de la Tunisie, Choucha. Le désert.
Le 30 juin 2013, le camp ferme : l’eau, l’électricité sont coupées. Les ONG se retirent, plus de soins. Pourtant 700 rescapés du conflit libyen, réfugiés sans pays d’accueil et déboutés de leur demande d’asile survivent dans ce lieu fantomatique depuis deux ans et demi. Refusant l’intégration locale suite à l’attaque du
camp par un village voisin, leurs papiers ayant expirés, les familles sont prises au piège d’une situation kafkaïenne. Survivre au milieu du désert ou tenter l’improbable aventure maritime pour Lampédusa via la Libye ?
Leurs témoignages nous interrogent sur les stratégies mises en place pour aider et sécuriser les victimes des conflits actuels. Comment ce système, censé protéger, finit-il par exclure les plus vulnérables ?
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