Critique d’une coutume oppressive appelée Obali selon laquelle un veuf doit se remarier avec une des femmes de sa belle-famille.
En l’occurrence, il s’agit d’un grand-père et de sa petite fille.

Ce film évoque la coutume Obali (d’où le titre) qui veut que lorsque l’épouse d’un homme meurt, elle soit remplacée par une femme de sa famille. Ce sera le cas de Ngondo, une jeune fille qui vit dans un village reculé du Haut-Ogoué. Elle doit remplacer sa grand-mère et donc épouser son grand-père, alors qu’elle est amoureuse de Tsougoudja, un jeune homme de Libreville. Le film montre comment Ngondo se joue de cette coutume oppressive.

1976, Gabon, long métrage Fiction, Comédie dramatique, 1h30

Réalisateurs : Pierre-Marie Dong et Charles Mensah
Scénario : Joséphine Kama Bongo (dit Patience Dabany).

Acteurs :
Yves Marion Ongouori, Jean-Bosco Pinoboumi, Mathias Brazzos Othas, Germaine Djeri (Ngondo), Armel Balthazar Mbimba (Tsougoudja), Catherine Ndjileyori, Frédéric Epemet, Thaddée Okoubi, Juliette Ndjouniga, Viviane Angangou, Judicaël Oninayi, Christine Dissouva, Martin Blaise Olery, Christiane Atsanga, Colette Leboungui, Henriette Ntsono

Lieux de tournage :
Villages de Ngouoni et Eyouga II (Haut-Ogooué, Gabon)

In the region of High Ogoué, in Gabon, O Bali is a traditional custom. It means that when the wife of a man dies, she has to be replace by another woman from her familly. Because of this oppressive practice, Ngondo has to marry her grandfather.

1976, Gabon – 90′ – 35 mm – F – Coul/Col

– R/D : Pierre-Marie Dong, Charles Mensah
– Sc : Joséphine NKama Bongo
– Ph/C : Claude Saunier
– M/Ed : Niole Saunier
– S : Jean Charrière
– Déc/AD : Jean-Martin Louembet
– P : Les Films Gabonais
– Int/Cast : Yves Marion Ongouori, Jean-Bosco Pinoboumi, Mathias Brazzos Othas, Germaine Djeri, Armel Balthazar Mbimba