Tous les articles en lien avec Soit je meurs, soit je vais mieux
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Essaïda» Regarde nous tels que nous sommes pour être mieux que ce que nous sommes « . Essaïda s’ouvre sur cet encart : tout un programme. Avec autant de force que de subtilité, il le remplit bien. Cela commence sur la crise d’Am…
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Entretien d’Olivier Barlet avec Mohamed ZranA quoi attribues-tu le succès de ton film en Tunisie ? Je crois qu’il est sincère et qu’il est proche de la jeunesse et des gens, qu’il les respecte et reflète leur environnement. Je cherche à ne pas faire un cinéma déc…
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FoolsCela commence par un panoramique magnifique sur les toits de Charterston (ghetto noir de Nigel) noyés dans le petit matin et dont les fumées des cheminées suivent la même oblique. Cette impression ne nous quittera pas. C…
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Entretien d’Olivier Barlet avec Ramadan SulemanJe suis frappé à quel point votre film représente un travail de deuil sur l’intégration de la violence dans une société de violence… J’habite en France depuis dix ans, mais pour m’intéresser à son histoire, je ne disp…
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ClandoClando : clandestin. Anatole l’est comme chauffeur de taxi à Yaoundé pour survivre, mais ce n’est qu’une métaphore : il l’est comme être conscient dans cette société d’injustice. Plus rien ne colle, ni sa vie sociale ni …
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Buud YamEn mooré, buud signifie les ancêtres aussi bien que la descendance et yam l’esprit, l’intelligence. Buud yam est ainsi avant tout un désir : celui d’une appartenance, d’une identité, de comprendre qui on est. » Qui et qu…
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Entretien d’Olivier Barlet avec Gaston KaboréDans Buud Yam, quel lien fais-tu entre le sacrifice de la mère puis de son fils et le destin ? C’est à travers sa mère que Wend Kuuni perçoit la vie puisqu’il n’a qu’une moitié de filiation : il n’a pas connu son père e…
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Le Destin» Ils » ont interdit L’Emigré. Sous prétexte qu’il représentait un prophète. Et Chahine de leur répondre d’un grand coup d’irrévérence, par un film magistral contre l’intégrisme et l’intolérance. Le Destin, situé au 12° …
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[20 ANS AFRICULTURES] Editorial – revue Africultures 11997 – 2017 : Africultures a 20 ans. Et pour l’occasion nous remettons en avant, pour vous, lecteurs-trices, des articles phares de ces 20 dernières années. Ici, le tout premier éditorial accompagnant la première parutio…