Tous les articles en lien avec Un théâtre nègre à Paris : la compagnie Les Griots
-
Derrière le nuage : Sarah MaldororAfricultures regrette la disparition de la réalisatrice guadeloupéenne Sarah Maldoror lundi 13 avril 2020. Nous reproduisons ici le communiqué de ses filles Annouchka de Andrade et Henda Ducados. La voix des persécut…
-
Un théâtre nègre à Paris : la compagnie Les GriotsCet article de mémoire rend compte de la compagnie de théâtre Les Griots dans le Paris d’après-guerre par l’un de ses acteurs, qui fut ensuite aussi un grand cinéaste ivoirien, honoré lors des 50 ans des Journées cinémat…
-
Regards sur le « Théâtre Noir » de Benjamin Jules-RosetteCe que l’Année des Outre-Mer peut contribuer à éclairer tout au long de 2011, aux « six coins » de l’Hexagone comme partout en Outre-mer, c’est la place ancienne de ces régions dans l’histoire de la France, leur présence é…
-
La compagnie des Griots ou l’ambition d’un « véritable théâtre noir moderne »Guadeloupéen, venu à Paris pour faire des études de Lettres, Robert Liensol (qui aura aussi pour nom de scène Omer Sollèn) fréquente la Sorbonne, quand il rencontre Toto Bissainthe, Sarah Maldoror, Samba Ababakar et Timi…
-
Jean Genet le « Nègre blanc »Paris, octobre 1959 : la Compagnie des Griots, exclusivement composée de comédiens noirs, crée la pièce de Jean Genet, Les Nègres, dans une mise en scène de Roger Blin. Publiée l’année précédente, elle interroge l’identi…
-
« L’occultation de l’histoire afro-antillaise est à la source de la colère de nombreux Noirs de France »À partir du 5 février 2012, France 5 diffuse la remarquable série en trois volets Noirs de France sur l’histoire des Afro-Antillais en France. Rencontre avec Juan Gélas qui l’a réalisée avec l’historien Pascal Blanchard….
-
Timité Bassori : »Actuellement, chacun fait sa petite cuisine devant sa porte »Il a été le premier cinéaste ivoirien avec son film La Femme au couteau sorti en 1968. Timité Bassori s’engouffrait avec cette fiction dans les méandres de l’inconscient, à une époque où les pellicules qui débarquaient s…
-
Fespaco 97 : les courts valent le détourLes courts métrages présentés au Fespaco sont souvent comme un bain de jouvence : c’est là que de jeunes (ou moins jeunes) réalisateurs proposent leur rénovation de l’écriture et de la thématique. La cuvée 97 ne déçoit p…
-
entretien d’Olivier Barlet avec Sarah Maldoror (Guadeloupe)Filmer la poésie Le contexte historique de mes débuts exigeait un cinéma militant qui aujourd’hui me reste collé à la peau : j’ai, comme tout le monde, beaucoup de difficultés à travailler. Révolutionnaire et féministe …
-
La tribu du bois de l’EAu silo de nos mémoires Coule le sucre de nos souffrances Dans les veines du bois de l’E Retentit l’espérance C’est tout un peuple Qui se lève en humanité.En un simple documentaire plaçant en parallèle la vie et l’o…
-
Cinémas lusophones : le gâchis et l’espoirL’histoire des cinémas lusophones ressemble à un énorme gâchis. Le Portugal salazariste s’est accroché à ses colonies qui n’ont pu se libérer qu’après la révolution des illets en 1974. Le cinéma, qui s’était fait outil …
-
Beautés noires : paroles d’actricesLe Festival Racines rend hommage à celles sans qui le cinéma serait sans mémoire. Bribes de paroles tous azimuts. »Et ta beauté me foudroie en plein cur, comme l’éclair d’un aigle. Fruit mûr à la chair ferme, sombres ex…