Migrations internationales : chaînon manquant de la mondialisation
Conférence-débat
Le 11 Juin 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Histoire/société, Interculturel/Migrations
CERI – 56 rue Jacob, 75006 Paris – France
de 14h à 16h – Entrée libre – Inscriptions [email protected] ou au 01 45 49 72 01
Français
Avec :
*Catherine de Wenden, Directrice de recherche au Centre d’études et de recherches internationales (CERI-Sciences Po)
*Antoine Pécoud, Programme migrations internationales, UNESCO
*Claire Rodier, Membre du Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI) et présidente du réseau MigrEurop
*Laurence Tubiana, Directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), Chaire du développement durable de Sciences Po
Animation : Damien Conaré, /Courrier de la planète/
Qu’il s’agisse de la fuite des cerveaux, de la traite des êtres humains, des tentatives désespérées des migrants de forcer les portes de l’Europe ou encore de l’importance des transferts de fonds dans le développement des pays d’origine, de nombreuses évolutions récentes ont mis en lumière l’incapacité des Etats à faire face seuls aux défis croissants posés par la mobilité des hommes et des femmes. La croissance du nombre de migrants dans le monde, près de 200 millions aujourd’hui, montre que la mondialisation ne contribue pas seulement à l’augmentation des flux de marchandises, de capitaux ou d’informations. Elle témoigne également de l’impossibilité de parvenir à une « immigration zéro » et de l’échec des approches étroitement sécuritaires.
*Catherine de Wenden, Directrice de recherche au Centre d’études et de recherches internationales (CERI-Sciences Po)
*Antoine Pécoud, Programme migrations internationales, UNESCO
*Claire Rodier, Membre du Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI) et présidente du réseau MigrEurop
*Laurence Tubiana, Directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), Chaire du développement durable de Sciences Po
Animation : Damien Conaré, /Courrier de la planète/
Qu’il s’agisse de la fuite des cerveaux, de la traite des êtres humains, des tentatives désespérées des migrants de forcer les portes de l’Europe ou encore de l’importance des transferts de fonds dans le développement des pays d’origine, de nombreuses évolutions récentes ont mis en lumière l’incapacité des Etats à faire face seuls aux défis croissants posés par la mobilité des hommes et des femmes. La croissance du nombre de migrants dans le monde, près de 200 millions aujourd’hui, montre que la mondialisation ne contribue pas seulement à l’augmentation des flux de marchandises, de capitaux ou d’informations. Elle témoigne également de l’impossibilité de parvenir à une « immigration zéro » et de l’échec des approches étroitement sécuritaires.
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