Représentation de Makak Janbé Croco
Dans le cadre de l' »Arbre à Palabres », Chantal Loïal et la Cie Difé Kako ont le plaisir de vous présenter leur création 2009 Makak Janbé Croco

© Patrick berger
Représentation
du 26 au 28 Avril 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Théâtre Dunois – 7 rue Louise Weiss, 75013 Paris – France
26, 27 et 28 avril 2010 à 15h
Français
Attachée au métissage qui caractérise son travail de création depuis des années, Chantal Loïal propose un nouveau spectacle vivant inspiré d’un conte africain : « Un malin singe ».
C’est une réécriture contemporaine mêlant conte créole et conte congolais :
1. La danse et la musique sont introduites avec une diversité d’expressions propre au métissage proposé par la Compagnie. Les compositions musicales et chorégraphiques peu usitées dans les formes traditionnelles du conte créole et africain occupent une place à part entière. La gestuelle développée croise : la danse afro-antillaise, la gymnastique sportive et la danse orientale. Le balafon rencontre la culture « chouval bwa » (tradition martiniquaise) avec l’accordéon et l’harmonica. Le ti-bwa (idiophone frappé) accompagne le djembé. La conque de lambi, le chacha, le bâton de pluie et les maracas habitent l’atmosphère du conte.
2. Les structures du conte créole et africain : les personnages, les expressions langagières, les lieux, les thèmes abordés, sont détournés de leur usage traditionnel.
3. Le jeune public devient acteur. Il est tour à tour répondè (choeurs), chantè (chanteurs), dansè (danseurs) et personnage de l’histoire.
A l’origine de toute parole, de tout conte, il existe le mot. Ce mot passe de bouche en bouche, d’oreille en oreille. Enigmatique pour les uns, drôle pour d’autres, savoureux pour certains, le mot se balade, danse, virevolte, joue… se perd, se comprend, se confond, se métamorphose. Entité libre et fantasque, le mot pourtant ne peut avoir de sens véritable que s’il est utilisé à bon escient sinon…attention à la malédiction. C’est ainsi qu’Igo, le conteur qui erre dans les ténèbres avec cette envie pressante de raconter va saisir l’occasion pour rompre le sort en racontant l’histoire du singe rusé, de la grue déplumée et du vieux roi croco contrarié.
C’est une réécriture contemporaine mêlant conte créole et conte congolais :
1. La danse et la musique sont introduites avec une diversité d’expressions propre au métissage proposé par la Compagnie. Les compositions musicales et chorégraphiques peu usitées dans les formes traditionnelles du conte créole et africain occupent une place à part entière. La gestuelle développée croise : la danse afro-antillaise, la gymnastique sportive et la danse orientale. Le balafon rencontre la culture « chouval bwa » (tradition martiniquaise) avec l’accordéon et l’harmonica. Le ti-bwa (idiophone frappé) accompagne le djembé. La conque de lambi, le chacha, le bâton de pluie et les maracas habitent l’atmosphère du conte.
2. Les structures du conte créole et africain : les personnages, les expressions langagières, les lieux, les thèmes abordés, sont détournés de leur usage traditionnel.
3. Le jeune public devient acteur. Il est tour à tour répondè (choeurs), chantè (chanteurs), dansè (danseurs) et personnage de l’histoire.
A l’origine de toute parole, de tout conte, il existe le mot. Ce mot passe de bouche en bouche, d’oreille en oreille. Enigmatique pour les uns, drôle pour d’autres, savoureux pour certains, le mot se balade, danse, virevolte, joue… se perd, se comprend, se confond, se métamorphose. Entité libre et fantasque, le mot pourtant ne peut avoir de sens véritable que s’il est utilisé à bon escient sinon…attention à la malédiction. C’est ainsi qu’Igo, le conteur qui erre dans les ténèbres avec cette envie pressante de raconter va saisir l’occasion pour rompre le sort en racontant l’histoire du singe rusé, de la grue déplumée et du vieux roi croco contrarié.
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