Tête à Tête / Une soirée, deux soli
ACME-AK ME
Durée : 50 minutes
Chorégraphie et interprétation Karim AMGHAR
Musique et texte Akhenaton et Imothep « le temps d’un poème »
PENOMBRE
Durée : 15 minutes
Chorégraphie et interprétation Prince DETHMER NZABA
Représentation
du 26 Avril au 07 Mai 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Tarmac (Le) – 159 avenue Gambetta, 75020 Paris – France
Du mardi au vendredi à 20h et le samedi à 16h
Réservations au 01 40 03 93 95 ou [email protected]
Tarifs : plein: 16 € / réduit : 12 €
TARMAC de la Villette-211 avenue Jean jaurès-75019 Paris
Accès Métro L5 Porte de Pantin, Bus PC ou 75
Français
ACME – AK ME / Compagnie A’Corps
Un corps figé soudain arraché qui s’anime. Corps enjoué, décidé, libéré sur le piano ou le
violoncelle mais aussi corps las, épuisé, peinant à se relever, soumis au tic-tac de l’horloge
et aux bruits et embûches du quotidien.
Corps qui en vient aux mots afin de libérer les «hurlements refoulés au revers de la bouche». Corps décidé, qui trébuche, se blesse et insiste. Et la colère sourde, et les « entraves affranchies ». Corps gracile, enroulé, déroulé qui en revient aux gestes…
Les gestes de la rage, les mots de la colère, ceux de Karim Amghar et de son corps blessé
et ceux d’Akhénaton, le temps d’un poème, le temps de l’extrême, de… l’acmé
PENOMBRE
Sur un tapis de feuilles mortes dispersées sur le sol, le danseur s’en vient dans le jeu des
couleurs et de la pleine lumière. Le geste est large, ample. Il est seul et se joue de l’espace.
Mais, peu à peu, le flou, le doute, l’incertitude, l’entre deux. Alors, il se saisit d’une calebasse, la repose et s’enduit le corps de blanc, blanc du kaolin, blanc du butô, blanc des
douleurs, du double et du deuil, du ressourcement et de l’intime. Alors seulement, il peut
rejoindre l’ombre qui dissimule et révèle, le tamis du clair-obscur, le noir et le blanc de la
ténèbre, jusqu’à la nuit, jusqu’à l’épure, jusqu’au silence du geste.
Un corps figé soudain arraché qui s’anime. Corps enjoué, décidé, libéré sur le piano ou le
violoncelle mais aussi corps las, épuisé, peinant à se relever, soumis au tic-tac de l’horloge
et aux bruits et embûches du quotidien.
Corps qui en vient aux mots afin de libérer les «hurlements refoulés au revers de la bouche». Corps décidé, qui trébuche, se blesse et insiste. Et la colère sourde, et les « entraves affranchies ». Corps gracile, enroulé, déroulé qui en revient aux gestes…
Les gestes de la rage, les mots de la colère, ceux de Karim Amghar et de son corps blessé
et ceux d’Akhénaton, le temps d’un poème, le temps de l’extrême, de… l’acmé
PENOMBRE
Sur un tapis de feuilles mortes dispersées sur le sol, le danseur s’en vient dans le jeu des
couleurs et de la pleine lumière. Le geste est large, ample. Il est seul et se joue de l’espace.
Mais, peu à peu, le flou, le doute, l’incertitude, l’entre deux. Alors, il se saisit d’une calebasse, la repose et s’enduit le corps de blanc, blanc du kaolin, blanc du butô, blanc des
douleurs, du double et du deuil, du ressourcement et de l’intime. Alors seulement, il peut
rejoindre l’ombre qui dissimule et révèle, le tamis du clair-obscur, le noir et le blanc de la
ténèbre, jusqu’à la nuit, jusqu’à l’épure, jusqu’au silence du geste.
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