« La rentabilité des investissements en Afrique »
« Valoriser et transformer les potentiels de l’Afrique en richesses réelles »
Conférence-débat
Le 08 Décembre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Histoire/société, Interculturel/Migrations
Ecole Nationale d’Administration (ENA) – Paris – 2, avenue de l’Observatoire, 75006 Paris – France
L’accès à cette rencontre-débat est gratuit. Préinscription recommandée sur le Site de la CADE www.afrique-demain.org rubrique inscriptions aux RD, par mail : [email protected] ou par téléphone : 01 43 48 14 67
Français
La CADE vous invite dans le cadre du cycle « Valoriser et transformer les potentiels de l’Afrique en richesses réelles », à la première rencontre-débat le Jeudi 87 décembre e 2011 à 17h45 – Amphithéâtre PARODI de l’ENA – 2 avenue de l’Observatoire Paris 6ème.
Intervenants : William Nkontchou, financier, Vice-président de Emerging Capital Partners, Yves Ekoué Amaïzo, consultant international, Managing Director de Knowledge For Interdependency Consulting et Joël Krief, banquier d’affaires, General Partner de Africa & Middle-East Capital.
Animation : Anaïs Dubois, journaliste, Rédactrice en chef du magazine Marchés Tropicaux & Méditerranéens et Roland Portella, consultant en développement d’entreprise, Vice-président de la CADE.
La valorisation des richesses potentielles africaines nécessite absolument un afflux d’investissements pour consolider les progrès économiques de ces dernières années. Une nouvelle catégorie d’investisseurs entend dire que de nombreuses entreprises et organes financiers évoluant en Afrique réalisent des taux de retour sur investissement difficilement envisageable sur d’autres continents. Mais des « observateurs » s’évertuent à indiquer que les risques sont élevés, confondant (volontairement ?) les risques pays et les risques inhérents au déroulement du business ou du secteur d’activité choisi par les opérateurs. Ainsi voit-on s’installer en Afrique les
« fameuses » agences de notation (si « décriées » par les citoyens et certains opérateurs économiques européens !). Les gouvernants africains affirment que leurs politiques publiques d’investissement seraient de plus en plus attractives et efficientes, alors que les réseaux du secteur privé estiment qu’il est impératif d’accélérer les réformes structurelles.
– Quelles lectures objectives peut-on avoir de ces investissements dits « rentables » ?
– Quels sont les meilleurs types et formes d’investissements pour les pays africains ?
– Comment les institutions publiques et les entreprises africaines peuvent mieux attirer les capitaux nécessaires aux investissements productifs ?
– Comment se situe la compétitivité de l’Afrique face aux autres zones d’émergence ?
– Quels sont les secteurs générateurs de croissance ?
– Comment analyser certains cas concrets d’investissements rentables ?
– Apportent-ils des effets induits en termes de développement social et sociétal ?
Intervenants : William Nkontchou, financier, Vice-président de Emerging Capital Partners, Yves Ekoué Amaïzo, consultant international, Managing Director de Knowledge For Interdependency Consulting et Joël Krief, banquier d’affaires, General Partner de Africa & Middle-East Capital.
Animation : Anaïs Dubois, journaliste, Rédactrice en chef du magazine Marchés Tropicaux & Méditerranéens et Roland Portella, consultant en développement d’entreprise, Vice-président de la CADE.
La valorisation des richesses potentielles africaines nécessite absolument un afflux d’investissements pour consolider les progrès économiques de ces dernières années. Une nouvelle catégorie d’investisseurs entend dire que de nombreuses entreprises et organes financiers évoluant en Afrique réalisent des taux de retour sur investissement difficilement envisageable sur d’autres continents. Mais des « observateurs » s’évertuent à indiquer que les risques sont élevés, confondant (volontairement ?) les risques pays et les risques inhérents au déroulement du business ou du secteur d’activité choisi par les opérateurs. Ainsi voit-on s’installer en Afrique les
« fameuses » agences de notation (si « décriées » par les citoyens et certains opérateurs économiques européens !). Les gouvernants africains affirment que leurs politiques publiques d’investissement seraient de plus en plus attractives et efficientes, alors que les réseaux du secteur privé estiment qu’il est impératif d’accélérer les réformes structurelles.
– Quelles lectures objectives peut-on avoir de ces investissements dits « rentables » ?
– Quels sont les meilleurs types et formes d’investissements pour les pays africains ?
– Comment les institutions publiques et les entreprises africaines peuvent mieux attirer les capitaux nécessaires aux investissements productifs ?
– Comment se situe la compétitivité de l’Afrique face aux autres zones d’émergence ?
– Quels sont les secteurs générateurs de croissance ?
– Comment analyser certains cas concrets d’investissements rentables ?
– Apportent-ils des effets induits en termes de développement social et sociétal ?
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