Soirée VISA POUR LA CRÉATION
Représentation
Le 16 Mars 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Institut Français Sédar Senghor de Dakar – Pôle Culturel 89 rue Joseph T. Gomis, BP 4003 Dakar – Sénégal
21h. 3000 fcfa / 2000 fcfa pour les adhérents
Français
SOIRÉE ‘VISA POUR LA CREATION’
Lauréats des Visas pour la création 2011 de l’Institut français, Fatou Cissé et Maman Sani viennent nous présenter le fruit de leurs travaux, deux solos hauts en couleurs !
Fatou Cissé / Regarde moi encore
Regarde moi encore est un solo interprété par Fatou Cissé, en tant que femme sénégalaise moderne, qui, par la danse, lance un message à toutes les autres femmes. Pour elles aussi tout est possible, et pour cela, il faut se lever et savoir dire non à toute forme de discriminations, faire face aux traditions et dépasser les différences liées au sexe.
Maman Sani / Tout n’est pas perdu
Jeune danseur contemporain nigérien, Maman Sani s’est nourri, pour cette création, de ses expériences, de ses voyages, de ses rencontres mais aussi et surtout d’une longue incarcération dans un aéroport.
Son solo s’inspire de tous les sentiments et émotions qu’il a pu traverser, l’incompréhension, les obstacles et les critiques, l’apparence et la réalité, le regard des gens… Un état des lieux sans concession du monde carcéral dans lequel nous vivons.
Lauréats des Visas pour la création 2011 de l’Institut français, Fatou Cissé et Maman Sani viennent nous présenter le fruit de leurs travaux, deux solos hauts en couleurs !
Fatou Cissé / Regarde moi encore
Regarde moi encore est un solo interprété par Fatou Cissé, en tant que femme sénégalaise moderne, qui, par la danse, lance un message à toutes les autres femmes. Pour elles aussi tout est possible, et pour cela, il faut se lever et savoir dire non à toute forme de discriminations, faire face aux traditions et dépasser les différences liées au sexe.
Maman Sani / Tout n’est pas perdu
Jeune danseur contemporain nigérien, Maman Sani s’est nourri, pour cette création, de ses expériences, de ses voyages, de ses rencontres mais aussi et surtout d’une longue incarcération dans un aéroport.
Son solo s’inspire de tous les sentiments et émotions qu’il a pu traverser, l’incompréhension, les obstacles et les critiques, l’apparence et la réalité, le regard des gens… Un état des lieux sans concession du monde carcéral dans lequel nous vivons.
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