Colenso Abafana
Groupe vocal et chorégraphique de culture zouloue.
Représentation
Le 27 Avril 2004
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Théâtre Duchamp-Villon – Quai rive droite, Bd Emile Duchemin, 76000 Rouen –
Français
Après Paul Simon (Graceland) et Jonny Clegg, la musique sud africaine se doit d’être entendue et partagée avec les Colenso Abafana (les garçons de Colenso, en langue zoulou).
Cette formation de neuf chanteurs et danseurs interprètre des polyphonies et danses zouloues d’Afrique du Sud. Ce groupe de chanteurs-danseurs a été créé il y a vingt ans par Victor M’Khizé. L’ancien contremaître des mines d’or du Natal avait d’abord fondé un chœur au sein de l’équipe d’ouvriers éloignés de leurs familles (les mines se trouvent à plus de 600 kilomètres des villages zoulous), affaiblis culturellement par l’oppression de l’apartheid. Le succès rencontré lors des concerts et l’engouement suscité par les disques ont vite transformé le chœur en une troupe permanente.
En 1995, la fin de l’apartheid, leur a permis d’effectuer leurs premières tournées internationales et de venir pour la première fois en France où la formation a rencontré un accueil enthousiaste dans les principaux festivals. Vêtus de costumes traditionnels propres au monde rural, les danseurs-chanteurs célèbrent par leurs chants la paix, la réconciliation, le respect pour les formes invisibles et le rapprochement des peuples.
Leurs polyphonies sont envoûtantes, d’une perfection rythmique et harmonique absolue. Les voix sont rauques et puissantes, chantant a capella elles s’apparentent à un gospel fiévreux et sans âge. Les Colenso Abafana dégagent sur scène une grande générosité, empreinte de joie de danser et de bonne humeur communicative.
Cette formation de neuf chanteurs et danseurs interprètre des polyphonies et danses zouloues d’Afrique du Sud. Ce groupe de chanteurs-danseurs a été créé il y a vingt ans par Victor M’Khizé. L’ancien contremaître des mines d’or du Natal avait d’abord fondé un chœur au sein de l’équipe d’ouvriers éloignés de leurs familles (les mines se trouvent à plus de 600 kilomètres des villages zoulous), affaiblis culturellement par l’oppression de l’apartheid. Le succès rencontré lors des concerts et l’engouement suscité par les disques ont vite transformé le chœur en une troupe permanente.
En 1995, la fin de l’apartheid, leur a permis d’effectuer leurs premières tournées internationales et de venir pour la première fois en France où la formation a rencontré un accueil enthousiaste dans les principaux festivals. Vêtus de costumes traditionnels propres au monde rural, les danseurs-chanteurs célèbrent par leurs chants la paix, la réconciliation, le respect pour les formes invisibles et le rapprochement des peuples.
Leurs polyphonies sont envoûtantes, d’une perfection rythmique et harmonique absolue. Les voix sont rauques et puissantes, chantant a capella elles s’apparentent à un gospel fiévreux et sans âge. Les Colenso Abafana dégagent sur scène une grande générosité, empreinte de joie de danser et de bonne humeur communicative.
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