Terres africaines : comment assurer la souveraineté alimentaire et simultanément générer des richesses ?
Partie 1. Eléments descriptifs structurels sur les terres,les politiques agricoles, la gouvernance foncière. Intervenants : Siribi Jean ZOUNDI, Charlotte LIBOG et Géraud MAGRINAnimation : Roland PORTELLA
Conférence-débat
Le 12 Novembre 2013
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Histoire/société, Interculturel/Migrations
Ecole Nationale d’Administration (ENA) – Paris – 2, avenue de l’Observatoire, 75006 Paris – France
Mardi 12 novembre 2013 de 18h00 à 20h00
ENA, amphithéâtre Parodi
– RER B : Luxembourg, Bus : 38 et 82 – arrêt Auguste Comte
Entrée gratuite. Inscription obligatoire soit : à travers le formulaire d'inscription du site de la CADE : www.afrique-demain.org ; par courriel : [email protected] ou par téléphone : 01 43 48 14 67&
Coordination pour l’Afrique de Demain
Français
Le monde du 21e siècle doit faire face à un défi mondial, celui d'une demande croissante en produits agricoles pour assurer son alimentation face à la " croissance " démographique, puis " décarboniser " les sources d'énergie afin de préserver l'environnement. Selon diverses sources d'information, les terres africaines représenteraient près de 60 % des terres arables mondiales. Les secteurs agricoles et agroalimentaires africains pourraient accroître leurs revenus de l'ordre de 300 milliards de dollars annuels actuellement à 1 000 milliards de dollars annuels d'ici 2030. Les terres africaines sont donc l'objet de vives convoitises, étant devenues des actifs stratégiques pour des "investisseurs " alors qu'elles sont avant tout source de vie et facteur de production agricole vivrière pour les populations locales.
Comment l'Afrique peut-elle assurer en priorité et par elle-même sa production agricole et son autosuffisance alimentaire ? Doit-on lui imposer d'être le " grenier " du monde, quelles opportunités en tirerait-elle ?
Peut-on réellement décrire l'état et la disponibilité des terres africaines ? Quels sont leurs différents statuts juridiques et patrimoniaux ?
Quels sont les systèmes agricoles et les politiques qui peuvent permettre à la fois une meilleure productivité et une alimentation de bon aloi ?
Quels sont les instruments de gouvernance mondiaux et africains à adopter afin de limiter les " accaparements " et les spéculations financières, favoriser les créations endogènes de richesses, les investissements à responsabilité sociétale ?
Comment les jeunes ou nouveaux entrepreneurs africains et/ou des diasporas peuvent-ils contribuer au développement agricole et agroalimentaire en Afrique, sur quelles chaînes de valeur entre celles occupées par des grandes firmes et celles des organisations paysannes?
Comment l'Afrique peut-elle assurer en priorité et par elle-même sa production agricole et son autosuffisance alimentaire ? Doit-on lui imposer d'être le " grenier " du monde, quelles opportunités en tirerait-elle ?
Peut-on réellement décrire l'état et la disponibilité des terres africaines ? Quels sont leurs différents statuts juridiques et patrimoniaux ?
Quels sont les systèmes agricoles et les politiques qui peuvent permettre à la fois une meilleure productivité et une alimentation de bon aloi ?
Quels sont les instruments de gouvernance mondiaux et africains à adopter afin de limiter les " accaparements " et les spéculations financières, favoriser les créations endogènes de richesses, les investissements à responsabilité sociétale ?
Comment les jeunes ou nouveaux entrepreneurs africains et/ou des diasporas peuvent-ils contribuer au développement agricole et agroalimentaire en Afrique, sur quelles chaînes de valeur entre celles occupées par des grandes firmes et celles des organisations paysannes?
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