CREATIVE INTELLIGENCE
Français
Dans le cadre de l’édition 2017 des Regards sur Cours, Creative Intelligence et la commissaire d’exposition Salimata Diop proposent une exposition d’artistes internationaux, qui répondent par leur travail au thème :' »L’eau et L’ailleurs », rêve ou cauchemar.
Des œuvres à découvrir dans un lieu patrimonial, Le Relais de l’Espadon, un bâtiment historique à l’architecture unique, qui fut l’ancienne résidence des gouverneurs français à Gorée et lui vaut d’être classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
BRUCE CLARCKE, France – UK – Afrique du Sud
Né en 1959, à Londres. Après des études aux Beaux-Arts à Leeds University, Grande-Bretagne, s’installe en France. Son travail plastique traite de l’histoire contemporaine, de l’écriture et de la transmission de cette histoire. Sa peinture stimule une réflexion sur le monde contemporain et la représentation qu’on en fait. Plasticien et photographe, il expose depuis 1989 à l’échelle internationale.
En 2002 il était artiste en résidence en Guadeloupe, invité par le Conseil Général du département. À la fin de la résidence, il réalise l’exposition : « Fragments d’une Histoire de Demain », qui traite du lien entre l’esclavage, le colonialisme et la mondialisation.
Il se place en dehors d’un art complaisant et décoratif. Il voit dans l’art un moyen privilégié de s’exprimer et d’informer, bref de porter un regard sur le monde qui nous entoure. Il ne suffit pas simplement de se faire une place dans la société, il faut également s’efforcer de peser sur le cours de l’histoire.
Pour l’artiste, l’interrogation ne devrait pas être tournée sur elle-même, mais ouverte aux domaines sociaux, l’art en lui-même demeurant un domaine social assez restrictif et marginal. L’oeuvre ne fabrique aucun sens stable autre qu’une question. Militant anti-apartheid en Afrique du Sud, il tente d’intégrer cet engagement politique dans sa recherche plastique qui se situe dans un courant de figuration critique.
SIAKA SOPPO TRAORE, SENEGAL – BURKINA FASO
Siaka S. Traoré est né à Douala, il grandit à Ouagadougou et au Togo mais ce sont ses études qui l’emmènent au Sénégal, à Dakar. Ingénieur en génie civil de formation, il se tourne vers la photographie en autodidacte après avoir découvert la danse hip-hop et la capoeira à Dakar.
Dans ses emblématiques portraits de danseurs pris sur le vif, on découvre également son goût pour la rue, sa principale source d’inspiration. Siaka S. Traoré fait partie d’une nouvelle vague de jeunes artistes qui font une entrée remarquée dans le monde de l’art, à travers des expositions internationales.
Pas moins de trois expositions lui sont consacrées lors de la Biennale de Dakar 2016. Au mois de novembre 2016, Siaka S. Traoré voit son travail couronné par le « Prix ORANGE de l’Artiste Numérique » 2016, lors de la foire Also Known As Africa – AKAA- au Carreau du Temple à Paris.
Des œuvres à découvrir dans un lieu patrimonial, Le Relais de l’Espadon, un bâtiment historique à l’architecture unique, qui fut l’ancienne résidence des gouverneurs français à Gorée et lui vaut d’être classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
BRUCE CLARCKE, France – UK – Afrique du Sud
Né en 1959, à Londres. Après des études aux Beaux-Arts à Leeds University, Grande-Bretagne, s’installe en France. Son travail plastique traite de l’histoire contemporaine, de l’écriture et de la transmission de cette histoire. Sa peinture stimule une réflexion sur le monde contemporain et la représentation qu’on en fait. Plasticien et photographe, il expose depuis 1989 à l’échelle internationale.
En 2002 il était artiste en résidence en Guadeloupe, invité par le Conseil Général du département. À la fin de la résidence, il réalise l’exposition : « Fragments d’une Histoire de Demain », qui traite du lien entre l’esclavage, le colonialisme et la mondialisation.
Il se place en dehors d’un art complaisant et décoratif. Il voit dans l’art un moyen privilégié de s’exprimer et d’informer, bref de porter un regard sur le monde qui nous entoure. Il ne suffit pas simplement de se faire une place dans la société, il faut également s’efforcer de peser sur le cours de l’histoire.
Pour l’artiste, l’interrogation ne devrait pas être tournée sur elle-même, mais ouverte aux domaines sociaux, l’art en lui-même demeurant un domaine social assez restrictif et marginal. L’oeuvre ne fabrique aucun sens stable autre qu’une question. Militant anti-apartheid en Afrique du Sud, il tente d’intégrer cet engagement politique dans sa recherche plastique qui se situe dans un courant de figuration critique.
SIAKA SOPPO TRAORE, SENEGAL – BURKINA FASO
Siaka S. Traoré est né à Douala, il grandit à Ouagadougou et au Togo mais ce sont ses études qui l’emmènent au Sénégal, à Dakar. Ingénieur en génie civil de formation, il se tourne vers la photographie en autodidacte après avoir découvert la danse hip-hop et la capoeira à Dakar.
Dans ses emblématiques portraits de danseurs pris sur le vif, on découvre également son goût pour la rue, sa principale source d’inspiration. Siaka S. Traoré fait partie d’une nouvelle vague de jeunes artistes qui font une entrée remarquée dans le monde de l’art, à travers des expositions internationales.
Pas moins de trois expositions lui sont consacrées lors de la Biennale de Dakar 2016. Au mois de novembre 2016, Siaka S. Traoré voit son travail couronné par le « Prix ORANGE de l’Artiste Numérique » 2016, lors de la foire Also Known As Africa – AKAA- au Carreau du Temple à Paris.
Partager :
